BioSTORM ® : Rétention des déchets et hydrocarbures
Gestion des eaux pluviales : Rétention des déchets, hydrocarbures / Réutilisation et Infiltration
Description du produit
La solution la plus efficace pour la gestion de l'eau pluviale !
Le BioSTORM® est un système de traitement des eaux pluviales à très faible entretien conçu pour éliminer les déchets, le plastique, les sédiments, l’huile, les hydrocarbures et d’autres polluants se trouvant dans les eaux pluviales, de ruissellement ou en prétraitement de process industriel (aire de lavage, station de lavage automobile, blanchisserie, laverie, BTP, etc) avec plus de 90% d’élimination des polluants !
Modèles standards de 14 L/seconde à 283 L/seconde
Description du produit
Le système de traitement des eaux pluviales BioSTORM® vous donne accès à une meilleure pratique de gestion (BMP) des eaux pluviales. Les eaux pluviales pénètrent dans le système par un caniveau, un avaloir, une grille ou un réseau de drainage, les gros déchets et débris sont filtrés à travers le StormTEE® vers la deuxième cellule du BioSTORM® qui permet de filtrer les sédiments fins et les hydrocarbures. L’eau dépolluée poursuivra ensuite sa route vers l’environnement récepteur c’est-à-dire les bassins d’orages, étangs, cours d’eau, lacs, milieu marin, réservoirs de rétention, etc, pour la réutilisation de l’eau. Ces systèmes sont conçus pour avoir un taux d’élimination des polluants élevé (+ de 90%).
La conception hors ligne unique du BioSTORM® consiste en un écran dégrilleur autonettoyant breveté StormTEE® et une unité de séparation / coalescence modulaire, le tout logé dans des réservoirs en béton préfabriqué ou ouvrage conçu sur site facilement disponible localement. La polyvalence du système permet aux composants d’être utilisés séparément pour différentes applications, ou ensemble pour former un système BioSTORM® complet. Différentes tailles sont disponibles en fonction du site et des considérations environnementales.
Bénéfices
Il est beaucoup plus efficace et rentable de prévenir la pollution que d’essayer de corriger les problèmes plus tard. En installant et en maintenant des systèmes simples, comme le BioSTORM®, et d’autres techniques de prévention de la pollution sur site, vous pouvez réduire considérablement le potentiel de pollution des eaux pluviales et les amendes de non-conformité. Il est recommandé de vérifier les exigences des réglementations locales.
Applications
•Eau de pluie •Eau de ruissellement •Eau de lavage •
Avantages
- Filtration de l'eau de pluie
- Installation facile, maintenance réduite
- Pas de consommation d’énergie
- Élimine les déchets, les sédiments, l'huile et autres polluants provenant du ruissellement des eaux pluviales
- Elimine les polluants nutritifs à l’état solide (comme les engrais)
- Permet la recharge des eaux souterraines ou la réutilisation de l’eau
- Le système breveté résiste mieux au colmatage que les dispositifs de dégrillage à mailles
- Maintient les performances de traitement quels que soient les débits hydrauliques
Certifications
CE
Taux d'élimination des polluants élevé (90+%)
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Capacité de traitement | 1210 m3/j à 24 451 m3/j |
Questions techniques fréquentes BioSTORM ® : Rétention des déchets et hydrocarbures
Pouvez-vous me recommander des fournisseurs des décanteurs lamellaires métalliques?
Un autre produit pertinent est le Salher DE-LA, qui dispose d'une structure externe en acier au carbone, mais avec des options disponibles pour l'acier inoxydable. Ce décanteur est efficace pour la clarification des eaux potables et industrielles grâce à ses modules lamellaires en PVC inclinés à 60°.
Enfin, le BioSTORM® peut également être considéré, bien qu'il ne soit pas un décanteur lamellaire au sens strict. Il utilise un processus de traitement des eaux pluviales avec des unités modulaires de séparation/coalescence, logées dans des réservoirs en béton ou en acier.
Ces options offrent une combinaison de durabilité, efficacité et adaptabilité pour vos besoins en décantation lamellaire métallique.
Comment installer un bassin de sédimentation pour prétraiter l'eau souterraine sale avant qu'elle n'entre dans un système de purification domestique, pour réduire la fréquence de nettoyage?
1. **Évaluation de la qualité de l'eau souterraine**: Avant toute chose, il est important de réaliser une analyse détaillée de l'eau. Cela permettra de déterminer la nature et la concentration des sédiments et autres contaminants présents dans l'eau souterraine.
2. **Conception du bassin de sédimentation**:
- **Dimensionnement**: La taille du bassin dépend du débit d'eau à traiter et de la vitesse de sédimentation des particules. Généralement, le bassin est conçu pour permettre une résidence suffisante de l'eau, de manière à ce que les sédiments aient le temps de se déposer par gravité. On utilise des formules de calcul du temps de séjour basées sur la loi de Stokes pour déterminer la taille optimale.
- **Forme et structure**: Les bassins rectangulaires ou circulaires sont les plus courants. Ils doivent avoir des parois lisses pour réduire les turbulences et un fond en pente douce vers le point de collecte des sédiments.
- **Matériaux de construction**: Les bassins peuvent être construits avec du béton, de l'acier ou du plastique renforcé de fibre de verre (PRFV), en fonction de la durabilité souhaitée et du budget.
3. **Installation du bassin**:
- **Emplacement**: Le bassin doit être placé en amont de la pompe de prélèvement de l'eau souterraine.
- **Excavation et fondation**: Excaver le sol selon les dimensions et la forme prévues. Une fondation en béton armé peut être nécessaire pour assurer la stabilité du bassin.
- **Drainage des boues**: Prévoir un système de drainage au point le plus bas du bassin pour faciliter l'évacuation périodique des sédiments accumulés.
4. **Installation des entrées et sorties d'eau**:
- **Entrée d'eau**: L'eau doit être introduite de manière à favoriser la décantation. Des diffuseurs ou des systèmes de distribution peuvent être utilisés pour réduire la vitesse de l'eau et la dispersion des sédiments.
- **Sortie d'eau**: Un déversoir placé à une hauteur stratégique permet de recueillir l'eau clarifiée en surface sans perturber les sédiments.
5. **Système de dérivation (bypass)**: Un système de dérivation peut être nécessaire pour permettre le nettoyage ou la maintenance du bassin sans interrompre l'approvisionnement en eau.
6. **Maintenance**: Prévoir un accès facile pour le nettoyage périodique des sédiments. Le bassin peut nécessiter des opérations de vidange et de dragage pour enlever les boues accumulées.
Pour améliorer l'efficacité du bassin de sédimentation, on peut envisager l'utilisation de produits additionnels :
- **Piège à sédiments**: Certains systèmes, comme le BioSTORM® ou des pièges à sédiments cylindriques, peuvent être installés en amont pour pré-capturer les sédiments grossiers.
- **Polymères floculants**: Dans le cas de particules fines difficilement sédimentables, l'utilisation de polymères floculants peut agglomérer les particules en flocs plus gros qui se déposeront plus facilement. Un préparateur de polymère en émulsion, comme le POLYMATIQUE TYPE E, pourrait être utile pour préparer et doser ces produits chimiques.
7. **Surveillance et contrôle**: Il est recommandé d'installer des instruments de mesure, comme un turbidimètre portable NEP-Link, pour surveiller l'efficacité du processus de sédimentation et l'évolution de la qualité de l'eau.
En conclusion, l'installation d'un bassin de sédimentation doit être conçue en fonction des caractéristiques spécifiques de l'eau souterraine à traiter et des contraintes du site. Une bonne conception, un dimensionnement approprié et une maintenance régulière sont essentiels pour garantir un fonctionnement optimal et réduire la fréquence de nettoyage du système de purification domestique.
Comment optimiser le raccordement de grandes surfaces pour une gestion efficace des eaux de ruissellement ?
1. **Évaluation du site et collecte de données** : Avant de concevoir un système de gestion des eaux de ruissellement, il est crucial d'effectuer une analyse hydrologique et hydraulique du site. Cela inclut l'évaluation du volume d'eau attendu, de la fréquence des précipitations, de la topographie, du type de sol et de l'occupation des terres.
2. **Conception de systèmes de collecte adaptés** : Pour les grandes superficies, un réseau de caniveaux et de drains est souvent nécessaire pour collecter et transporter les eaux de ruissellement vers les zones de traitement ou de stockage. Des produits comme le système ACO Tram pourraient être utilisés pour le drainage des plates-formes, offrant une capacité hydraulique élevée et une isolation électrique et mécanique.
3. **Prétraitement des eaux pluviales** : Avant de stocker ou de réutiliser l'eau, un prétraitement est souvent nécessaire pour enlever les sédiments et les polluants. Des systèmes comme le BioSTORM® ou le SediPipe XL plus pourraient être utilisés pour filtrer les déchets, les sédiments et les hydrocarbures, augmentant ainsi la qualité de l'eau collectée.
4. **Stockage temporaire ou permanent** : L'eau collectée peut être temporairement stockée dans des bassins de rétention ou d'orage, ou de manière plus permanente dans des cuves de stockage souterraines. Des produits comme les bassins AquaCell de Wavin, qui sont modulaires et adaptés à l'infiltration et à la rétention, ou des cuves comme le PACK'EAU pour le stockage de l'eau de pluie, offrent des options de stockage flexibles et efficaces.
5. **Régulation des débits** : Pour éviter les surcharges des systèmes de drainage en aval, il est essentiel de contrôler le débit des eaux sortantes. Des régulateurs de débit comme Réguleo peuvent être installés pour limiter le débit des eaux pluviales évacuées conformément aux exigences réglementaires.
6. **Infiltration** : L'infiltration des eaux pluviales dans le sol est une stratégie de gestion qui peut réduire le volume des eaux à traiter et favoriser la recharge des nappes phréatiques. Le système Rigofill ST-B ou le d-Rain Joint® pour la désimperméabilisation des sols peuvent être utilisés pour faciliter l'infiltration de l'eau dans le sol.
7. **Surveillance et maintenance** : Une gestion efficace des eaux de ruissellement nécessite une surveillance régulière et une maintenance pour s'assurer que les systèmes fonctionnent comme prévu. Des produits comme le regard de contrôle QuadroControl permettent un accès facile pour l'inspection et la maintenance des systèmes de stockage d'eau pluviale.
8. **Intégration de solutions vertes** : L'incorporation de toitures vertes, de jardins de pluie et de pavés perméables peut aider à réduire le volume et la vitesse du ruissellement en augmentant l'absorption de l'eau par les surfaces végétalisées.
En combinant ces stratégies et en sélectionnant les produits appropriés pour chaque fonction, il est possible de concevoir un système de gestion des eaux pluviales intégré et optimisé pour le raccordement de grandes surfaces. Cela permettra non seulement de gérer efficacement les eaux de ruissellement, mais aussi de protéger les infrastructures existantes et l'environnement contre les effets néfastes des eaux pluviales non contrôlées.
Actualités autour du BioSTORM ® : Rétention des déchets et hydrocarbures
ÉTUDE DE CAS : BioBarrier® HSMBR® mise à niveau d'un assainissement semi-collectif pour un aéroport
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Pouvez-vous me recommander des fournisseurs des décanteurs lamellaires métalliques?
Un autre produit pertinent est le Salher DE-LA, qui dispose d'une structure externe en acier au carbone, mais avec des options disponibles pour l'acier inoxydable. Ce décanteur est efficace pour la clarification des eaux potables et industrielles grâce à ses modules lamellaires en PVC inclinés à 60°.
Enfin, le BioSTORM® peut également être considéré, bien qu'il ne soit pas un décanteur lamellaire au sens strict. Il utilise un processus de traitement des eaux pluviales avec des unités modulaires de séparation/coalescence, logées dans des réservoirs en béton ou en acier.
Ces options offrent une combinaison de durabilité, efficacité et adaptabilité pour vos besoins en décantation lamellaire métallique.
Comment installer un bassin de sédimentation pour prétraiter l'eau souterraine sale avant qu'elle n'entre dans un système de purification domestique, pour réduire la fréquence de nettoyage?
1. **Évaluation de la qualité de l'eau souterraine**: Avant toute chose, il est important de réaliser une analyse détaillée de l'eau. Cela permettra de déterminer la nature et la concentration des sédiments et autres contaminants présents dans l'eau souterraine.
2. **Conception du bassin de sédimentation**:
- **Dimensionnement**: La taille du bassin dépend du débit d'eau à traiter et de la vitesse de sédimentation des particules. Généralement, le bassin est conçu pour permettre une résidence suffisante de l'eau, de manière à ce que les sédiments aient le temps de se déposer par gravité. On utilise des formules de calcul du temps de séjour basées sur la loi de Stokes pour déterminer la taille optimale.
- **Forme et structure**: Les bassins rectangulaires ou circulaires sont les plus courants. Ils doivent avoir des parois lisses pour réduire les turbulences et un fond en pente douce vers le point de collecte des sédiments.
- **Matériaux de construction**: Les bassins peuvent être construits avec du béton, de l'acier ou du plastique renforcé de fibre de verre (PRFV), en fonction de la durabilité souhaitée et du budget.
3. **Installation du bassin**:
- **Emplacement**: Le bassin doit être placé en amont de la pompe de prélèvement de l'eau souterraine.
- **Excavation et fondation**: Excaver le sol selon les dimensions et la forme prévues. Une fondation en béton armé peut être nécessaire pour assurer la stabilité du bassin.
- **Drainage des boues**: Prévoir un système de drainage au point le plus bas du bassin pour faciliter l'évacuation périodique des sédiments accumulés.
4. **Installation des entrées et sorties d'eau**:
- **Entrée d'eau**: L'eau doit être introduite de manière à favoriser la décantation. Des diffuseurs ou des systèmes de distribution peuvent être utilisés pour réduire la vitesse de l'eau et la dispersion des sédiments.
- **Sortie d'eau**: Un déversoir placé à une hauteur stratégique permet de recueillir l'eau clarifiée en surface sans perturber les sédiments.
5. **Système de dérivation (bypass)**: Un système de dérivation peut être nécessaire pour permettre le nettoyage ou la maintenance du bassin sans interrompre l'approvisionnement en eau.
6. **Maintenance**: Prévoir un accès facile pour le nettoyage périodique des sédiments. Le bassin peut nécessiter des opérations de vidange et de dragage pour enlever les boues accumulées.
Pour améliorer l'efficacité du bassin de sédimentation, on peut envisager l'utilisation de produits additionnels :
- **Piège à sédiments**: Certains systèmes, comme le BioSTORM® ou des pièges à sédiments cylindriques, peuvent être installés en amont pour pré-capturer les sédiments grossiers.
- **Polymères floculants**: Dans le cas de particules fines difficilement sédimentables, l'utilisation de polymères floculants peut agglomérer les particules en flocs plus gros qui se déposeront plus facilement. Un préparateur de polymère en émulsion, comme le POLYMATIQUE TYPE E, pourrait être utile pour préparer et doser ces produits chimiques.
7. **Surveillance et contrôle**: Il est recommandé d'installer des instruments de mesure, comme un turbidimètre portable NEP-Link, pour surveiller l'efficacité du processus de sédimentation et l'évolution de la qualité de l'eau.
En conclusion, l'installation d'un bassin de sédimentation doit être conçue en fonction des caractéristiques spécifiques de l'eau souterraine à traiter et des contraintes du site. Une bonne conception, un dimensionnement approprié et une maintenance régulière sont essentiels pour garantir un fonctionnement optimal et réduire la fréquence de nettoyage du système de purification domestique.
Comment optimiser le raccordement de grandes surfaces pour une gestion efficace des eaux de ruissellement ?
1. **Évaluation du site et collecte de données** : Avant de concevoir un système de gestion des eaux de ruissellement, il est crucial d'effectuer une analyse hydrologique et hydraulique du site. Cela inclut l'évaluation du volume d'eau attendu, de la fréquence des précipitations, de la topographie, du type de sol et de l'occupation des terres.
2. **Conception de systèmes de collecte adaptés** : Pour les grandes superficies, un réseau de caniveaux et de drains est souvent nécessaire pour collecter et transporter les eaux de ruissellement vers les zones de traitement ou de stockage. Des produits comme le système ACO Tram pourraient être utilisés pour le drainage des plates-formes, offrant une capacité hydraulique élevée et une isolation électrique et mécanique.
3. **Prétraitement des eaux pluviales** : Avant de stocker ou de réutiliser l'eau, un prétraitement est souvent nécessaire pour enlever les sédiments et les polluants. Des systèmes comme le BioSTORM® ou le SediPipe XL plus pourraient être utilisés pour filtrer les déchets, les sédiments et les hydrocarbures, augmentant ainsi la qualité de l'eau collectée.
4. **Stockage temporaire ou permanent** : L'eau collectée peut être temporairement stockée dans des bassins de rétention ou d'orage, ou de manière plus permanente dans des cuves de stockage souterraines. Des produits comme les bassins AquaCell de Wavin, qui sont modulaires et adaptés à l'infiltration et à la rétention, ou des cuves comme le PACK'EAU pour le stockage de l'eau de pluie, offrent des options de stockage flexibles et efficaces.
5. **Régulation des débits** : Pour éviter les surcharges des systèmes de drainage en aval, il est essentiel de contrôler le débit des eaux sortantes. Des régulateurs de débit comme Réguleo peuvent être installés pour limiter le débit des eaux pluviales évacuées conformément aux exigences réglementaires.
6. **Infiltration** : L'infiltration des eaux pluviales dans le sol est une stratégie de gestion qui peut réduire le volume des eaux à traiter et favoriser la recharge des nappes phréatiques. Le système Rigofill ST-B ou le d-Rain Joint® pour la désimperméabilisation des sols peuvent être utilisés pour faciliter l'infiltration de l'eau dans le sol.
7. **Surveillance et maintenance** : Une gestion efficace des eaux de ruissellement nécessite une surveillance régulière et une maintenance pour s'assurer que les systèmes fonctionnent comme prévu. Des produits comme le regard de contrôle QuadroControl permettent un accès facile pour l'inspection et la maintenance des systèmes de stockage d'eau pluviale.
8. **Intégration de solutions vertes** : L'incorporation de toitures vertes, de jardins de pluie et de pavés perméables peut aider à réduire le volume et la vitesse du ruissellement en augmentant l'absorption de l'eau par les surfaces végétalisées.
En combinant ces stratégies et en sélectionnant les produits appropriés pour chaque fonction, il est possible de concevoir un système de gestion des eaux pluviales intégré et optimisé pour le raccordement de grandes surfaces. Cela permettra non seulement de gérer efficacement les eaux de ruissellement, mais aussi de protéger les infrastructures existantes et l'environnement contre les effets néfastes des eaux pluviales non contrôlées.
Comment calculer le nombre de lamelles nécessaires pour une dimension de décanteur donnée ?
1. Détermination de la surface de décantation nécessaire :
La première étape consiste à déterminer la surface totale de décantation requise pour traiter le débit d'eau prévu. La formule de base pour calculer cette surface (A) est :
\[ A = \frac{Q}{v_s} \]
Où \( Q \) est le débit d'eau à traiter (en m³/s) et \( v_s \) est la vitesse de sédimentation des particules (en m/s). La vitesse de sédimentation peut être déterminée par des essais de laboratoire ou en utilisant des valeurs typiques pour les particules à retirer.
2. Calcul de la surface de décantation unitaire :
La surface de décantation unitaire est la surface offerte par une seule lamelle. Si les lamelles sont inclinées à un angle \( \theta \), la surface unitaire (\( A_u \)) d'une lamelle de largeur \( b \) et de longueur entre appuis \( l \) est donnée par :
\[ A_u = b \times l \times \cos(\theta) \]
3. Calcul du nombre de lamelles :
Le nombre de lamelles (\( N \)) nécessaires est calculé en divisant la surface totale de décantation requise par la surface de décantation unitaire d'une lamelle :
\[ N = \frac{A}{A_u} \]
Il est important de noter que les lamelles doivent être espacées pour permettre le passage de l'eau et des flocs, et pour minimiser le colmatage. L'espace entre les lamelles doit être suffisant pour l'écoulement et l'entretien.
4. Prise en compte de l'encombrement et des pertes de charge :
Il est également nécessaire de tenir compte de l'espace occupé par les lamelles dans le décanteur et des pertes de charge associées au passage de l'eau. Cela peut réduire la surface de décantation effective et doit être inclus dans le calcul final pour s'assurer que le décanteur est suffisamment dimensionné.
5. Ajustement en fonction de l'expérience et de la réglementation :
Finalement, il convient d'ajuster les calculs en fonction de l'expérience pratique, des spécifications du fabricant et des exigences réglementaires.
En ce qui concerne les produits spécifiques, des solutions comme le Salher DE-LA, le décanteur lamellaire W-Tank, ou le BioSTORM® peuvent être adaptées en fonction des besoins spécifiques de traitement. Chaque fabricant peut offrir des paramètres et des designs spécifiques qui influencent le nombre de lamelles et la conception du décanteur. Il est donc conseillé de consulter les données techniques fournies par les fabricants pour un dimensionnement précis et conforme aux performances attendues.
Y-a-t-il un mode de gestion différent pour les eaux de pluie en habitat dispersé?
La gestion des eaux pluviales en habitat dispersé est souvent axée sur des solutions décentralisées et des pratiques de gestion à la source, qui visent à traiter, stocker ou infiltrer les eaux de pluie le plus près possible de l'endroit où elles tombent. Voici quelques approches techniques et produits pouvant être utilisés dans ce contexte :
1. Récupérateurs d'eau de pluie : Les systèmes de récupération d'eau de pluie, comme les cuves PACK'EAU, permettent de collecter et de stocker les eaux de pluie en vue de leur réutilisation pour l'arrosage des jardins, le lavage des voitures ou même, après traitement, pour les toilettes et les machines à laver. Cela réduit la demande en eau potable et le volume d'eau qui doit être géré par les infrastructures publiques.
2. Infiltration : Des dispositifs d'infiltration comme les produits Q-Bic Plus de Wavin ou les PITT de DBO France peuvent être installés pour favoriser l'infiltration des eaux pluviales dans le sol, contribuant ainsi à recharger les nappes phréatiques et à réduire les ruissellements de surface qui peuvent conduire à l'érosion et aux inondations.
3. Bassins de rétention : Pour les grandes surfaces imperméables ou les régions où les eaux pluviales doivent être gérées à une plus grande échelle, les bassins de rétention, tels que TUBAO BUSES METALLIQUES, peuvent être utilisés pour stocker temporairement les eaux de pluie avant de les relâcher lentement dans le milieu naturel ou les systèmes d'infiltration.
4. Nouvelles techniques urbaines de drainage (NTUD) : Les NTUD, comme les toits verts, les noues ou les jardins de pluie, peuvent être adaptées aux habitats dispersés pour gérer localement les eaux pluviales. Ces solutions paysagères permettent également d'améliorer la biodiversité et la qualité de l'environnement local.
5. Systèmes de filtration et de traitement : Pour les habitats dispersés qui nécessitent un traitement des eaux pluviales avant infiltration ou réutilisation, des systèmes comme le BioSTORM® offrent une solution de traitement des eaux pluviales pour éliminer les déchets, les hydrocarbures et autres polluants.
6. Pompes et stations de relevage : Dans les zones où l'infiltration n'est pas possible ou pour relever les eaux pluviales vers des systèmes de traitement ou de stockage, des pompes et des stations de relevage, comme les produits Sanifos de SFA, peuvent être nécessaires.
7. Régulation et contrôle : Des dispositifs de contrôle de débit, comme les régulateurs de débit installés dans les bassins de rétention, permettent de maîtriser la quantité d'eau relâchée dans les cours d'eau ou les systèmes d'infiltration, afin de prévenir les inondations en aval.
En résumé, la gestion des eaux pluviales en habitat dispersé repose sur des approches plus individualisées et décentralisées, qui visent à réduire l'impact sur les infrastructures publiques, à promouvoir la gestion durable de l'eau et à protéger l'environnement local. Les solutions proposées doivent être adaptées aux spécificités du site, au type de sol, au climat et aux objectifs environnementaux de la région.
Comment dimensionne-t-on un filtre pour un système hydraulique à eau glacée?
1. **Déterminer le débit du système** : Le débit est la quantité d'eau glacée circulant dans le système par unité de temps, généralement exprimée en mètres cubes par heure (m³/h) ou en gallons par minute (GPM). Le filtre doit être dimensionné pour traiter l'intégralité de ce débit sans causer de chute de pression excessive.
2. **Analyser la qualité de l'eau** : Il est essentiel de connaître la qualité de l'eau à filtrer. Cela inclut la concentration de particules, leur taille et leur nature (organique, inorganique, etc.). Cela permettra de choisir le type de média filtrant le plus adapté, qu'il s'agisse de cartouches, de sable, de zéolite, de charbon actif ou autres.
3. **Choisir le grade de filtration** : Il s'agit de déterminer la taille des particules à retirer de l'eau glacée. Cela est souvent exprimé en microns. Plus le nombre de microns est bas, plus le filtre est capable de retirer de petites particules.
4. **Calculer la perte de charge acceptable** : La perte de charge est la réduction de pression qui se produit à travers le filtre en raison de la résistance à l'écoulement de l'eau. Un filtre bien dimensionné doit maintenir la perte de charge dans des limites acceptables pour ne pas affecter la performance du système de réfrigération.
5. **Considérer les conditions de fonctionnement** : Les conditions telles que la température de l'eau glacée, la pression de service, la viscosité du fluide et la présence éventuelle de produits chimiques influencent le choix du matériau du filtre et sa robustesse.
6. **Prévoir l'entretien et la durée de vie** : Il est important d'estimer la fréquence de nettoyage ou de remplacement des éléments filtrants. Un filtre avec une plus grande surface filtrante aura une durée de vie plus longue et nécessitera moins d'entretien.
7. **Sélection du type de filtre** : Il existe différents types de filtres tels que les filtres à cartouche, les filtres à sable, les filtres à poches, et les filtres à tamis automatiques, chacun avec ses spécificités et son domaine d'application privilégié.
8. **Respect des normes et certifications** : Le filtre doit répondre aux normes en vigueur dans l'industrie et posséder les certifications nécessaires assurant sa qualité et sa conformité.
En fonction de ces critères, des produits spécifiques peuvent être envisagés. Par exemple :
- Le **BioSTORM®** ou le **StormTEE®** pourraient être considérés si le système hydraulique à eau glacée est associé à une application nécessitant un haut niveau de protection contre les déchets ou les hydrocarbures.
- Les **filtres à cartouche Manches / chaussettes filtrantes** pourraient être utilisés pour leur capacité à être personnalisés en fonction des besoins spécifiques du système.
- Le **filtre Evac Media** pourrait être un choix pertinent pour sa facilité d'installation et sa résistance à des conditions de température et de pression spécifiques.
Il est recommandé de collaborer avec des fabricants spécialisés et des ingénieurs en mécanique des fluides pour concevoir et dimensionner le système de filtration le plus adapté aux exigences du système hydraulique à eau glacée.
Je cherche une machine qui permettrait de traiter les eaux de lavage (eaux mélées aux adjuvants et des laitances de béton) d'une centrale à béton en phase de production afin de pouvoir les réutiliser pour nettoyer nos appareils. Des recommandations?
Le BioSTORM peut être utile en l'intégrant dans un process complet et en fonction de la qualité de l'eau en entrée et désirée en sortie.
Dans un dépôt de maintenance ferroviaire dont le rejet est chargé d'huiles usagées et de gasoil, vaut-il mieux opter pour un déshuileur ou une station d'épuration des eaux de rejets? Que recommandez-vous?
Bonjour,
Une solution efficace est d'opter pour un séparateur Sédiments / hydrocarbures / huile tel que notre technologie BioSTORM, celles-ci s'adapte sur site directement dans une cuve ou un bassin et permet d'éliminer plus de 90% des polluants. Nous avons plusieurs modèles en fonction du débit à traiter.
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