BioBarrier ® MBR : Réutilisation de l’eau
Le futur de l'assainissement et de la réutilisation de l'eau !
Description
Le futur de l'assainissement et de la réutilisation de l'eau !
Premier système au monde certifié pour la réutilisation de l'eau, le BioBarrier redéfinit l’assainissement non collectif. Grâce à ses performances exceptionnelles, dépassant largement les exigences en matière de qualité de traitement définies dans les réglementations locales, il offre de nouvelles opportunités de recyclage des eaux usées sur site. Le MBR et le MBR-N aident à répondre aux besoins de plus en plus stricts concernant les normes de qualité d’eau, les problèmes de stress hydrique et de site difficile.
Description du produit
Le BioBarrier® MBR et le BioBarrier®-N ont été les premiers systèmes au monde certifiés pour la réutilisation de l'eau (NSF/ANSI Std 350, classe R) pour le recyclage total des eaux noires et grises. Le système BioBarrier® MBR est conçu spécifiquement pour l’assainissement décentralisé, ce qui en fait le système le plus avancé sur le marché. Le BioBarrier®-N ajoute une zone anoxique supplémentaire afin d’obtenir une réduction d'azote plus élevée pour les zones écologiquement sensibles.
Il ouvre de nouvelles opportunités que les autres systèmes de traitement ne peuvent pas atteindre comme le rejet direct, l’absence d’épandage ou encore l’adaptation aux effluents extrêmes. Il offre également des possibilités de réutilisation et de recyclage de l'eau, ce qui peut permettre à l'utilisateur de réaliser des économies.
Le BioBarrier® utilise la technologie membranaire et une combinaison de processus d'aération biologique pour traiter les eaux usées à un niveau élevé. Il utilise une séparation physique par ultrafiltration afin d’éliminer plus de 99,9% des contaminants.
Bénéfices
La technologie BioBarrier® permet une installation hors sol ou enterrée,dans un encombrement réduit. Facile à utiliser et autonome, le BioBarrier® est la solution parfaite dans les zones sensibles, naturelles, avec un manque d’espace ou lorsque l’effluent est complexe ou très chargé.
Applications
•Maisons, petites parcelles, sites isolés, sites autonomes •Hébergements écologiques, zones Natura 2000 •Eaux chargées et complexes, élimination de l’azote •Recyclage, autonomie en eau, rejet direct, exigences réglementaires strictes, zones zéro rejets
Avantages
- Eau 100% réutilisable (30 à 99% d’économie d’eau)
- Système autonome
- Traite tous types d’eaux (grises, noires, douces, salées)
- Maintenance facile et réduite
- Ultra Compact (épandage facultatif)
- Ne craint pas les variations de charges
- Modulaire et adaptable en tous types de cuves
- Ecologique et eco-conçu
- Consommation énergétique réduite
- 3 fois plus de biomasse active qu'un traitement conventionnel
Certifications
Normes NSF/ANSI 40, 245 et 350 (réutilisation de l'eau) Européennes EN-12566-3 – CE
Élimine 99,9999% des bactéries, virus, 99,8% MES, 99,4% DBO5, 97% DCO, 98% Azote
DBO5, MES : 10 mg/l
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Capacité de traitement d'eau | 1892 l/j à 5675 l/j |
Capacité EH | 1 à 32 |
Questions récurrentes sur le BioBarrier ® MBR : Réutilisation de l’eau
Existe-t-il des infos sur la durée de vie des membranes sur STEP?
Pour les systèmes UV utilisés dans le traitement des eaux, comme les réacteurs BIO-UV, la durée de vie des lampes est d'environ 13 000 à 16 000 heures selon le modèle et le nombre d'allumages, ce qui est un indicateur indirect de la robustesse du système global. Il est crucial de suivre les recommandations du fabricant pour la maintenance et le remplacement des composants afin de maximiser la durée de vie des membranes et des systèmes associés.
Choisir un système certifié, comme ceux mentionnés, assure une performance et une durabilité conformes aux normes européennes et internationales.
Recherche d'Interface TBX 7 DES16F22 sur une STEP d'épuration
Dans ce contexte, si vous recherchez des équipements pour optimiser votre STEP, vous pourriez envisager des solutions telles que le système de traitement MyFAST® pour une gestion efficace des eaux usées à forte charge ou le système BioBarrier® MBR pour la réutilisation de l'eau avec une haute qualité de traitement. Pour une gestion optimisée, l'intégration avec un système de dosage comme l'Ultromat® ULIa pourrait être envisagée pour une préparation précise des polymères. Assurez-vous que l'interface choisie soit compatible avec les protocoles de communication utilisés dans votre installation (par exemple, Modbus TCP, PROFIBUS®).
En moyenne combien de DB05 est émise par jour dans une station de lavage de véhicule ?
Pour réduire cette charge polluante, des systèmes avancés comme le BioBarrier® HSMBR® ou le BioBarrier® MBR peuvent être intégrés. Ces systèmes de traitement des eaux usées sont capables d'éliminer jusqu'à 99,4% de la DBO5, produisant ainsi un effluent de haute qualité, conforme aux normes strictes de réutilisation de l'eau (NSF/ANSI Std 350).
En mettant en place de telles technologies, une station de lavage peut considérablement minimiser son impact environnemental, tout en optimisant la réutilisation de l'eau traitée pour des applications non potables, telles que le lavage ou l'irrigation.
Actualités autour du BioBarrier ® MBR : Réutilisation de l’eau
Comment arriver à traiter des eaux usées dans un écosystème fragile et isolé tout en ayant des performances constantes dès le premier jour ? Retrouvez un cas d'étude unique en son genre dessinant le standard du traitement des eaux usées pour les lodges et habitats flottants d'aujourd'hui et de demain. #BioBarrier #BioMicrobics #water #ReUse #lodge #habitat #flottant #ecologie #environnement
Marque
Vendu par :
Type de produit
Produits liés
Certifications
Certifications |
---|
Européennes EN-12566-3 – CE |
NSF/ANSI 245 |
NSF/ANSI 350 (réutilisation de l'eau) |
NSF/ANSI 40 |
Posez une question sur le produit
Poser une questionToutes les questions sur le BioBarrier ® MBR : Réutilisation de l’eau
Existe-t-il des infos sur la durée de vie des membranes sur STEP?
Pour les systèmes UV utilisés dans le traitement des eaux, comme les réacteurs BIO-UV, la durée de vie des lampes est d'environ 13 000 à 16 000 heures selon le modèle et le nombre d'allumages, ce qui est un indicateur indirect de la robustesse du système global. Il est crucial de suivre les recommandations du fabricant pour la maintenance et le remplacement des composants afin de maximiser la durée de vie des membranes et des systèmes associés.
Choisir un système certifié, comme ceux mentionnés, assure une performance et une durabilité conformes aux normes européennes et internationales.
Recherche d'Interface TBX 7 DES16F22 sur une STEP d'épuration
Dans ce contexte, si vous recherchez des équipements pour optimiser votre STEP, vous pourriez envisager des solutions telles que le système de traitement MyFAST® pour une gestion efficace des eaux usées à forte charge ou le système BioBarrier® MBR pour la réutilisation de l'eau avec une haute qualité de traitement. Pour une gestion optimisée, l'intégration avec un système de dosage comme l'Ultromat® ULIa pourrait être envisagée pour une préparation précise des polymères. Assurez-vous que l'interface choisie soit compatible avec les protocoles de communication utilisés dans votre installation (par exemple, Modbus TCP, PROFIBUS®).
En moyenne combien de DB05 est émise par jour dans une station de lavage de véhicule ?
Pour réduire cette charge polluante, des systèmes avancés comme le BioBarrier® HSMBR® ou le BioBarrier® MBR peuvent être intégrés. Ces systèmes de traitement des eaux usées sont capables d'éliminer jusqu'à 99,4% de la DBO5, produisant ainsi un effluent de haute qualité, conforme aux normes strictes de réutilisation de l'eau (NSF/ANSI Std 350).
En mettant en place de telles technologies, une station de lavage peut considérablement minimiser son impact environnemental, tout en optimisant la réutilisation de l'eau traitée pour des applications non potables, telles que le lavage ou l'irrigation.
Comment effectuer un diagnostic pour une station d'épuration ?
Quelles sont les meilleures pratiques pour le recyclage de l'eau dans les stations de lavage auto?
1. **Systèmes de Traitement de l'Eau Avancés** :
- **BioBarrier® MBR et BioBarrier® HSMBR®** : Ces systèmes utilisent la technologie de bioréacteur à membrane (MBR) pour traiter les eaux usées à un niveau élevé. Ils éliminent plus de 99,9% des contaminants, ce qui permet de réutiliser l'eau pour diverses applications dans la station de lavage. Le BioBarrier® HSMBR® est particulièrement adapté pour les environnements avec des charges polluantes élevées.
2. **Séparation et Filtration des Solides** :
- **Dégrilleur MyTEE®** : Ce système de dégrillage assure la séparation des solides inorganiques et des sédiments. Il prévient le colmatage prématuré des zones d'absorption et améliore les conditions d'écoulement.
- **GritCup®** : Un dispositif tout hydraulique pour le lavage et le classement des particules, efficace pour séparer et laver les particules sans recourir à des eaux de lavage supplémentaires.
3. **Pompes Doseuses pour le Traitement Chimique** :
- **Pompe doseuse hydro-motrice D9WL2 et D9WL3000** : Ces pompes permettent un dosage précis des produits chimiques sans recours à l'électricité, utilisant la pression de l'eau comme force motrice. Elles sont idéales pour l'injection de produits de traitement de l'eau.
4. **Gestion de la Réutilisation de l'Eau** :
- **ASMR® - Acqua Smart Reuse®** : Ce système est spécifiquement conçu pour le recyclage et la réutilisation de l'eau traitée dans les stations de lavage auto. Il permet de réduire les factures d'eau, contribue à une planète plus durable et assure une continuité d'activité même en cas de pénurie d'eau.
5. **Maintenance et Entretien** :
- Assurez-vous que tous les systèmes de traitement de l'eau sont régulièrement entretenus et nettoyés pour garantir leur efficacité. L'utilisation de dispositifs comme le **MyTEE®** avec fonction d'écouvillonnage CIP (Clean-in-Place) facilite l'entretien sur place.
6. **Conformité Réglementaire** :
- Utilisez des systèmes certifiés conformes aux normes locales et internationales telles que les normes NSF/ANSI 40, 245 et 350 pour la réutilisation de l'eau. Par exemple, les systèmes BioBarrier® HSMBR® et ASMR® répondent à ces normes strictes.
En intégrant ces pratiques et technologies, les stations de lavage auto peuvent non seulement améliorer leur efficacité opérationnelle, mais aussi leur impact environnemental, en recyclant et réutilisant efficacement l'eau tout en respectant les réglementations en vigueur.
Je veux pouvoir laver ma flotte de véhicules d'entreprise, sur le lieux de l'entreprise. Dois-je faire des travaux pour traiter les eaux de lavage ?
Les exigences réglementaires varient en fonction des juridictions locales, mais elles incluent généralement des normes strictes en matière de rejet des eaux usées. Il est donc important de se renseigner auprès des autorités locales compétentes pour connaître les réglementations spécifiques en vigueur.
Pour traiter les eaux de lavage, des installations de traitement devront être mises en place, ce qui implique généralement les étapes suivantes :
1. Installation d'un système de collecte des eaux de lavage, souvent sous forme de dalles de lavage avec des systèmes de drainage adaptés.
2. Séparation des hydrocarbures et des solides, qui peut être réalisée à l'aide de séparateurs d'hydrocarbures ou de dégrilleurs tels que le "Dégrilleur MyTEE®". Ces systèmes filtrent les grosses particules et séparent les huiles et les graisses des eaux de lavage.
3. Traitement biologique ou physique-chimique, selon la composition des eaux de lavage et les normes réglementaires. Par exemple, le système "BioBarrier® Winery" pourrait être adapté pour traiter biologiquement les eaux avant réutilisation, en éliminant les contaminants organiques.
4. Désinfection, si nécessaire, pour éliminer les micro-organismes pathogènes. Des systèmes de désinfection par ultraviolets comme la "BIO-UV Gamme IAM" peuvent être utilisés pour cette étape, offrant une désinfection efficace sans l'utilisation de produits chimiques.
5. Filtration fine et/ou traitement par membrane, comme avec le "BioBarrier® MBR", pour assurer une qualité d'eau traitée compatible avec les usages envisagés ou les normes de rejet.
6. Gestion des boues produites lors du traitement, qui peuvent nécessiter une déshydratation et un traitement ou une élimination appropriés.
7. Stockage et/ou réutilisation de l'eau traitée, si possible, pour des applications telles que l'irrigation, le lavage des sols, ou d'autres processus industriels.
Il est important de noter que l'installation de ces systèmes peut nécessiter une étude d'impact environnemental, des autorisations spécifiques et une conception adaptée aux besoins spécifiques de votre flotte et de votre entreprise.
En fonction des besoins et de la taille de votre flotte, des solutions modulaires ou des systèmes personnalisés peuvent être envisagés pour intégrer les différentes étapes de traitement mentionnées. Il est conseillé de consulter des fournisseurs spécialisés dans le traitement des eaux industrielles pour obtenir des conseils techniques et des solutions adaptées à votre situation.
Quelles sont les conditions optimales pour le stockage des boues d'épuration?
1. **Environnement Contrôlé** : Le site de stockage doit être protégé des intempéries pour éviter le lessivage des nutriments ou des contaminants. Un abri ou un espace couvert est préférable.
2. **Accès Restreint** : Le site doit être sécurisé pour empêcher l'accès non autorisé et protéger la santé publique et l'environnement.
3. **Imperméabilisation** : Le sol du site de stockage doit être imperméabilisé pour empêcher la contamination des eaux souterraines. L'utilisation de liners ou de barrières géomembranes est courante.
4. **Gestion des Odeurs** : Des mesures doivent être prises pour minimiser les odeurs, telles que le recouvrement des boues avec un matériau inerte ou l'utilisation de produits chimiques pour le contrôle des odeurs.
5. **Contrôle des Vecteurs** : Le site doit être conçu pour minimiser la présence de vecteurs tels que les mouches, les rongeurs et les oiseaux, qui peuvent transmettre des maladies.
6. **Stabilité des Boues** : Les boues doivent être stabilisées avant le stockage pour réduire la pathogénicité et la biodégradabilité. La stabilisation peut inclure des processus tels que la digestion anaérobie, la chaux ou l'aération.
7. **Monitoring** : Un suivi régulier doit être effectué pour vérifier la composition chimique et microbiologique des boues et détecter toute fuite ou contamination.
8. **Plan de Gestion** : Un plan de gestion des boues doit être établi, décrivant les procédures de manipulation, de stockage et d'utilisation finale ou de disposition des boues.
9. **Espace pour le Traitement** : Il doit y avoir suffisamment d'espace pour permettre le traitement ultérieur des boues, comme le séchage, la compostage ou l'hygiénisation, si nécessaire.
10. **Conformité Réglementaire** : Le stockage doit respecter toutes les réglementations locales et nationales en matière de gestion des boues d'épuration.
En ce qui concerne les produits ou systèmes liés à l'assainissement qui pourraient être pertinents pour le stockage des boues d'épuration, des systèmes tels que les conteneurs de stockage spécifiques pour boues d'épuration, les couvertures de bassin pour le contrôle des odeurs, ou les systèmes de stabilisation et d'hygiénisation pourraient être considérés. Par exemple, des produits tels que les systèmes de digestion anaérobie HighStrengthFAST® ou des solutions de désinfection comme le BioBarrier® MBR qui permettent de traiter les boues en vue de leur réutilisation pourraient être appropriés pour une gestion optimale des boues d'épuration. Ces systèmes contribuent à la stabilité des boues avant le stockage et à la réduction des pathogènes et des odeurs, facilitant ainsi un stockage plus sûr et plus efficace.
Quelle est la procédure détaillée pour auditer une STEP?
1. Préparation de l'audit :
- Collecte des données existantes sur la STEP (plans, caractéristiques techniques, données de fonctionnement, rapport d'exploitation, autorisations de rejet, etc.).
- Définition des objectifs de l'audit (conformité réglementaire, optimisation des processus, efficacité énergétique, etc.).
- Planification de la visite sur site (date, équipe d'audit, équipements nécessaires).
2. Visite sur site :
- Inspection visuelle de la STEP, incluant les infrastructures, les équipements et les bassins de traitement.
- Vérification de la conformité des installations (état des équipements, signalétique, accès sécurisé).
- Collecte d'échantillons pour analyse en laboratoire si nécessaire.
- Entretiens avec le personnel d'exploitation pour comprendre les procédures opérationnelles.
3. Évaluation des données de fonctionnement :
- Analyse des données de débit, des charges polluantes entrantes et de l'efficacité des différents traitements (boues activées, décantation, désinfection, etc.).
- Vérification de la performance des systèmes de traitement (ex: évaluation de l'efficacité des dispositifs comme le BioBarrier® MBR ou le NitriFAST® pour la nitrification).
- Contrôle des données de surveillance et d'auto-surveillance.
4. Analyse des processus de traitement :
- Évaluation de la conception et de la capacité des processus de traitement (aération, décantation, filtration, désinfection).
- Vérification des paramètres opérationnels (temps de séjour, taux d'oxygène dissous, pH, température).
- Identification des points de surcharge ou de sous-performance.
5. Gestion des boues :
- Inspection des équipements de traitement des boues (épaississeurs, digesteurs, déshydratation).
- Analyse de la qualité des boues produites et de leur valorisation ou élimination.
6. Impact environnemental :
- Évaluation de l'effluent traité et de son impact sur le milieu récepteur.
- Contrôle de la gestion des sous-produits et des rejets gazeux.
7. Sécurité et conformité réglementaire :
- Vérification du respect des normes de sécurité pour le personnel et l'environnement.
- Conformité avec les réglementations locales et nationales.
8. Efficacité énergétique :
- Analyse de la consommation énergétique des équipements (pompes, agitateurs, systèmes d'aération).
- Identification des opportunités de réduction des coûts d'énergie (ex: utilisation de l'AEROSTREAM pour une aération plus efficace).
9. Rapport d'audit :
- Rédaction d'un rapport détaillé avec les observations, les analyses de données, les points de non-conformité et les recommandations.
- Présentation des recommandations pour l'amélioration des performances, la mise en conformité et l'optimisation des coûts.
10. Plan d'action :
- Élaboration d'un plan d'action en concertation avec la direction de la STEP pour corriger les non-conformités et améliorer les performances.
- Définition des priorités, des responsabilités, des échéanciers et des ressources nécessaires.
L'audit doit être réalisé par une équipe d'experts qualifiés, idéalement avec une expérience dans le traitement des eaux usées et une connaissance approfondie des réglementations en vigueur. Les outils et les technologies mentionnés comme le BioBarrier® MBR ou le NitriFAST® peuvent être utilisés pour évaluer la performance de certains processus clefs dans la STEP lors de l'audit.
Quelles sont les différentes étapes d'un audit de station de pompage?
1. Préparation de l'audit:
- Collecte des données existantes sur la station (plans, caractéristiques techniques des équipements, historique de maintenance, etc.).
- Définition des objectifs de l'audit.
- Planification des visites sur site et identification des interlocuteurs clés.
2. Inspection visuelle et évaluation sur site:
- Inspection des équipements de pompage (pompes, moteurs, tuyaux, vannes, etc.).
- Vérification de la présence et du bon fonctionnement des systèmes de contrôle et d'instrumentation, comme les détecteurs de niveau pneumatique (par exemple, le modèle 032.V036.000).
- Évaluation des systèmes de commande et de protection des moteurs (protection thermique, automates comme le SEQUETROL STARTER).
- Examen de l'état des infrastructures (puisards, cuves, canalisations, etc.).
- Contrôle des dispositifs de sécurité et d'urgence (postes de commande, signalisation, accès).
3. Analyse de la performance opérationnelle:
- Mesure des débits et des pressions en différents points du réseau.
- Évaluation de l'efficacité énergétique (consommation électrique, rendement des pompes).
- Test des capacités de traitement ou de transfert des eaux (par exemple, avec des pompes submersibles série SV, série DS/DSK, série TPV ou BAV).
- Vérification du respect des paramètres de conception et de performance prévus.
4. Évaluation de la maintenance et de l'exploitation:
- Analyse des procédures de maintenance en place et de l'historique des interventions.
- Évaluation des pratiques opérationnelles et de la gestion des stocks de pièces de rechange.
- Examen des procédures de formation et de qualification du personnel d'exploitation.
- Audit des systèmes de gestion des données et de la documentation technique.
5. Conformité réglementaire et environnementale:
- Vérification de la conformité avec les normes et règlements locaux, nationaux et internationaux.
- Évaluation de l'impact environnemental de la station (gestion des effluents, bruits, émissions, etc.).
- Inspection des systèmes de gestion environnementale en place (par exemple, utilisation de systèmes de réutilisation de l'eau comme le BioBarrier® MBR).
6. Rapport d'audit et recommandations:
- Rédaction d'un rapport détaillé incluant les résultats des inspections et des analyses.
- Identification des points forts et des zones d'amélioration.
- Élaboration de recommandations techniques pour optimiser la performance et la fiabilité de la station (par exemple, mise à niveau des équipements, améliorations des procédures, formation du personnel).
- Proposition d'un plan d'action avec des mesures correctives et préventives à mettre en œuvre.
7. Suivi post-audit:
- Assurer le suivi des recommandations et des plans d'action.
- Évaluation de l'efficacité des actions correctives mises en place.
- Planification d'audits périodiques pour un suivi continu de la performance de la station de pompage.
L'audit doit être mené par des professionnels qualifiés ayant une connaissance approfondie des équipements, des processus de pompage et des réglementations en vigueur. Des outils de diagnostic spécialisés et des instruments de mesure précis, tels que des débitmètres, des analyseurs d'énergie et des dispositifs de contrôle à distance, sont souvent utilisés pour réaliser cet audit de manière efficace.
Dans le processus de lavage quelles sont les machines électriques à installer et la puissance électrique à fournir?
1. Pompes à haute pression : Elles sont utilisées pour fournir l'eau nécessaire au lavage à haute pression. La puissance de ces pompes peut varier de quelques kW à plusieurs dizaines de kW en fonction de la pression et du débit requis. Par exemple, une pompe pneumatique comme la P1000 de Fluimac pourrait être utilisée dans certains processus où des fluides spécifiques sont impliqués.
2. Convoyeurs ou chaînes de lavage : Ils permettent de déplacer les objets ou les véhicules à travers la station de lavage. La puissance requise dépend de la longueur du convoyeur et de la charge à transporter, mais peut varier de 1 kW à 10 kW ou plus.
3. Systèmes de chauffage de l'eau : Ils chauffent l'eau utilisée dans le processus de lavage. Les chauffe-eau électriques peuvent demander une puissance de 3 kW à 50 kW ou plus, selon la quantité d'eau à chauffer et la vitesse de chauffage nécessaire.
4. Souffleries et sécheurs : Ces équipements sont utilisés pour sécher les objets ou les véhicules après le lavage. La puissance des souffleries peut varier de 2 kW à 30 kW ou plus.
5. Pompes doseuses : Elles servent à injecter des détergents ou des produits chimiques de traitement dans le cycle de lavage. Des pompes telles que la Pompes doseuses hydro-motrice D9WL2 ou la Pompe doseuse hydro-motrice D9WL3000 de Dosatron peuvent être utilisées avec des puissances généralement inférieures à 1 kW, car elles sont souvent hydro-motrices et ne nécessitent pas d'électricité pour le dosage.
6. Systèmes de recyclage de l'eau : Des systèmes comme le BioBarrier® MBR peuvent être utilisés pour traiter et recycler l'eau de lavage. La puissance électrique associée à ces systèmes varie en fonction de la taille de l'installation et peut aller de quelques kW à plusieurs dizaines de kW.
7. Éclairage : L'éclairage est nécessaire pour la visibilité et la sécurité. La puissance totale dépend du nombre de luminaires et de leur puissance unitaire, mais elle peut ajouter plusieurs kW à la charge totale.
8. Systèmes de contrôle et de commande : Ces systèmes gèrent le fonctionnement des différents équipements de lavage et peuvent inclure des automates programmables, des interfaces homme-machine (IHM) et des capteurs. Bien que leur consommation soit généralement faible, ils sont essentiels au bon fonctionnement du processus.
Pour déterminer la puissance électrique totale à fournir, il est nécessaire de faire la somme des puissances de toutes les machines et équipements électriques prévus. Il est également important de prendre en compte le facteur de simultanéité, c'est-à-dire la probabilité que tous les équipements fonctionnent en même temps. Une marge supplémentaire est généralement ajoutée pour permettre de futures extensions ou pour faire face aux pics de consommation. L'installation électrique devra être dimensionnée en conséquence, en tenant compte des normes de sécurité électrique et des réglementations locales en vigueur.
Est-ce qu'un compresseur est forcément nécessaire dans une station de pompage ?
Dans une station de pompage, le rôle principal est d'assurer la circulation et le transfert des fluides (eau, eaux usées, etc.) d'un point à un autre, souvent d'un niveau bas à un niveau plus élevé. Ceci est généralement accompli par des pompes centrifuges ou des pompes submersibles qui créent une différence de pression pour déplacer les fluides.
Un compresseur est utilisé pour comprimer de l'air ou un autre gaz et est souvent associé aux besoins suivants dans une station de pompage :
1. Aération dans le traitement des eaux usées : Dans les installations de traitement biologique des eaux usées, comme les stations d'épuration, des compresseurs sont utilisés pour insuffler de l'air dans les bassins d'aération afin de fournir l'oxygène nécessaire au métabolisme des micro-organismes qui décomposent les contaminants organiques.
2. Nettoyage et entretien : Certains systèmes de station de pompage utilisent des compresseurs pour des fonctions de nettoyage, comme l'activation de systèmes de backwash (contre-lavage) dans des filtres ou d'autres équipements de traitement.
3. Systèmes de pompage pneumatiques : Dans les systèmes de pompage pneumatiques ou les éjecteurs, l'air comprimé est utilisé pour créer un mouvement de fluide en exploitant la différence de pression créée par la détente de l'air comprimé.
4. Contrôle et opération de vannes : L'air comprimé peut être utilisé pour actionner des vannes pneumatiques au sein d'une station de pompage pour réguler le flux de fluide ou pour des opérations de maintenance.
Cependant, pour un système de pompage standard qui ne requiert que le transfert de fluide d'un point A à un point B sans les besoins supplémentaires mentionnés ci-dessus, un compresseur n'est pas nécessaire.
Si un compresseur est requis, des produits comme les stations de soufflage Evac Pump Stations (EPS) et Blower Stations (EBS) pourraient être appropriés pour fournir de l'air dans les réservoirs d'eaux usées et les unités de traitement biologique. D'autres systèmes spécialisés, tels que le BioBarrier® MBR, pourraient nécessiter des compresseurs pour l'aération dans le cadre du traitement avancé des eaux usées avec réutilisation. Pour les applications nécessitant des pompes pneumatiques, des détecteurs de niveau pneumatiques comme le 032.V036.000 pourraient être intégrés pour automatiser le démarrage et l'arrêt des pompes.
En conclusion, l'utilisation d'un compresseur dans une station de pompage est spécifique à l'application et n'est pas une exigence universelle pour tous les systèmes de pompage.
Comment savoir le type de STEP : faible, moyenne ou forte charge ?
La DBO5 est une mesure de la quantité d'oxygène nécessaire pour la dégradation biologique de la matière organique dans les eaux usées sur une période de cinq jours. Elle est souvent utilisée comme indicateur de la pollution organique dans l'eau.
Voici comment on peut classer les STEP :
1. Faible charge : Une STEP à faible charge a une charge organique généralement inférieure à 0,1 kg DBO5/j/m³. Ces installations sont souvent des lits bactériens ou des filtres percolateurs, où la biomasse est fixée sur un support et l'effluent passe lentement à travers. Elles sont adaptées pour les petites communautés ou les zones rurales avec de faibles concentrations en polluants.
2. Moyenne charge : Une STEP à moyenne charge a une charge organique située entre 0,1 et 0,4 kg DBO5/j/m³. Ces systèmes sont généralement des bassins d'aération ou des réacteurs biologiques à boues activées, où les micro-organismes sont maintenus en suspension par agitation ou aération. Ils sont couramment utilisés pour les municipalités de taille moyenne.
3. Forte charge : Une STEP à forte charge présente une charge organique supérieure à 0,4 kg DBO5/j/m³. Ces installations sont typiquement conçues pour traiter des eaux usées industrielles ou des effluents de grandes agglomérations urbaines avec des concentrations élevées de matières organiques.
Pour déterminer la classification d'une STEP, il est nécessaire de connaître la concentration des eaux usées entrantes en DBO5, le débit quotidien de ces eaux et le volume des réacteurs biologiques. Avec ces informations, on peut calculer la charge appliquée et ainsi déterminer la catégorie de la STEP.
Des produits ou des systèmes technologiques spécifiques peuvent être appropriés en fonction de la charge de la STEP :
- Pour une STEP à faible charge, des produits comme les lits bactériens ou les filtres percolateurs (par exemple BioRobic® Systèmes d’aération immergés) peuvent être utilisés.
- Pour une STEP à moyenne charge, les systèmes d'aération ou les réacteurs biologiques à boues activées sont appropriés (par exemple, la gamme de produits HighStrengthFAST® pour des applications semi-collectives).
- Pour une STEP à forte charge, des technologies plus avancées comme les réacteurs biologiques à membrane (MBR), telles que le BioBarrier® MBR, peuvent être nécessaires pour gérer efficacement la haute concentration de polluants.
La surveillance régulière et le contrôle des processus de traitement sont cruciaux pour maintenir l'efficacité de la STEP et assurer la conformité avec les normes environnementales.
Quelles sont les références/limites de qualité réglementaires à suivre pour la réutilisation des eaux usées ?
1. Paramètres microbiologiques :
- Coliformes fécaux ou E. coli : généralement, les normes exigent moins de 10^2 unités formant colonie (UFC) par 100 ml pour l'irrigation de cultures consommées crues.
- Entérovirus et Helminthes : souvent non détectables sur des volumes d'échantillons définis.
2. Paramètres chimiques :
- Demande Biochimique en Oxygène (DBO5) : souvent inférieure à 10 mg/L pour certaines réutilisations.
- Demande Chimique en Oxygène (DCO) : peut varier, mais une valeur inférieure à 125 mg/L est courante pour l'irrigation.
- Azote total (N) et Phosphore total (P) : des limites spécifiques sont souvent établies pour contrôler l'eutrophisation, par exemple, moins de 10 mg/L pour l'azote total et moins de 1 mg/L pour le phosphore total.
3. Paramètres physiques :
- Turbidité : généralement inférieure à 2 à 10 NTU (unités néphélométriques de turbidité).
- Solides en suspension totaux (SST) : souvent inférieurs à 10 mg/L.
4. Substances toxiques :
- Métaux lourds (plomb, cadmium, mercure, etc.) : les limites dépendent de l'application (irrigation, recharge aquifère, etc.) et sont généralement exprimées en microgrammes par litre (µg/L).
5. Substances dangereuses :
- Pesticides, hydrocarbures, etc. : souvent à des niveaux de concentration très faibles ou non détectables, selon les normes locales.
Pour la conformité à ces normes, des systèmes de traitement avancés peuvent être nécessaires. Par exemple, le système de traitement BioBarrier® MBR mentionné précédemment est conçu pour fournir une qualité d'effluent qui répond ou dépasse les exigences réglementaires en matière de réutilisation des eaux, avec des performances exceptionnelles en termes de réduction des bactéries, virus et autres contaminants.
En Europe, la réutilisation des eaux usées est notamment réglementée par la réglementation européenne, qui définit plusieurs classes de qualité pour différents usages de l'eau réutilisée (irrigation agricole, urbaine, etc.). Aux États-Unis, l'Environmental Protection Agency (EPA) établit des lignes directrices pour la réutilisation des eaux usées, mais les critères précis sont souvent définis par les États.
Il est important de consulter la réglementation locale pour connaître les limites de qualité exactes à respecter pour des projets spécifiques de réutilisation des eaux usées.
Y-a-t-il une obligation de couvrir une aire de lavage en extérieur pour une collectivité territoriale ?
1. La réglementation locale: Les arrêtés préfectoraux peuvent imposer des exigences spécifiques concernant la couverture des aires de lavage, en fonction des enjeux environnementaux locaux.
2. La protection des eaux: Les eaux de lavage peuvent contenir des polluants tels que des hydrocarbures, des détergents, des matières en suspension, etc. Afin de prévenir la pollution des eaux de surface et souterraines, des mesures de gestion des eaux de lavage, comme la couverture des aires de lavage, peuvent être requises pour limiter le ruissellement et l'infiltration de ces substances polluantes.
3. Le statut de la zone: Si l'aire de lavage est située dans une zone sensible ou protégée (par exemple, une zone de captage d'eau potable ou une zone Natura 2000), des mesures de protection plus strictes peuvent être imposées.
4. Les Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE): Si l'aire de lavage fait partie d'une installation soumise à la réglementation ICPE, des prescriptions techniques spécifiques, y compris la couverture de l'aire de lavage, peuvent être imposées par l'autorisation d'exploitation ou par la déclaration préalable.
En termes de produits et de solutions, une aire de lavage couverte pourrait être équipée de systèmes de traitement et de recyclage des eaux de lavage, tels que:
- BioBarrier® MBR et BioBarrier® HSMBR®: Ces systèmes de réutilisation de l'eau traitent les eaux usées à un niveau élevé et sont conçus pour des applications telles que le recyclage des eaux de lavage.
- Systèmes d’aération immergés LIXOR®: Ils peuvent être utilisés pour traiter les eaux usées issues du lavage en favorisant l'activité biologique et la réduction des matières organiques.
- Pompes doseuses hydro-motrices comme celles de Dosatron: Elles permettent le dosage précis des produits de traitement des eaux dans le cadre de la maintenance des aires de lavage.
Il est conseillé aux collectivités territoriales de consulter la législation en vigueur et, si nécessaire, de prendre contact avec les services préfectoraux ou les agences de l'eau compétentes pour obtenir des informations précises et à jour sur leurs obligations réglementaires.
Quelles sont les lois et obligations sur la récupération des eaux de lavage de voitures / camions ?
1. Autorisation d'exploitation : Les stations de lavage doivent souvent obtenir une autorisation ou un permis d'exploitation qui stipule les conditions de rejet et de traitement des eaux usées.
2. Traitement des eaux usées : Les eaux de lavage contiennent des contaminants tels que des hydrocarbures, des détergents, des cires, des métaux lourds et des particules fines. La réglementation exige généralement que ces eaux soient traitées avant leur rejet dans le système d'égout municipal ou l'environnement. Les systèmes de traitement peuvent inclure des séparateurs d'hydrocarbures, des systèmes de filtration, des dispositifs de décantation, des dispositifs de neutralisation du pH et des systèmes de traitement biologiques.
3. Réutilisation de l'eau : Dans certaines régions, la loi peut encourager ou exiger la mise en place de systèmes de récupération et de recyclage des eaux afin de réduire la consommation d'eau potable. Ces systèmes collectent, traitent et réutilisent les eaux grises issues du lavage pour de nouveaux cycles de lavage.
4. Rejet des eaux usées : Les eaux usées traitées doivent respecter des normes spécifiques avant leur rejet. Ces normes sont généralement définies en termes de concentration de contaminants et de paramètres physico-chimiques.
5. Gestion des boues et des déchets : Les boues et les déchets générés par le traitement des eaux de lavage doivent être éliminés de manière responsable, conformément à la réglementation locale sur la gestion des déchets.
6. Mesures de prévention des déversements : Les stations de lavage doivent mettre en place des mesures pour prévenir les déversements accidentels de substances nocives dans l'environnement.
Produits pouvant être utilisés pour répondre à ces obligations :
- Les séparateurs d'hydrocarbures ou débourbeurs, qui permettent de séparer les huiles et les graisses des eaux de lavage avant leur traitement ultérieur ou leur rejet.
- Les stations de traitement biologique, comme le système BioBarrier® MBR, qui traitent les eaux usées de manière avancée et permettent leur réutilisation dans des applications non potables.
- Les systèmes de filtration, tels que les filtres autonettoyants SAF ou les filtres plastiques autonettoyants TAF d'Amiad, qui retirent les particules en suspension dans les eaux de lavage.
- Les pompes doseuses, comme la série EWN-R d'EJ-R, qui permettent le dosage précis des produits chimiques nécessaires au traitement des eaux de lavage.
- Les systèmes de récupération d'eau, qui collectent l'eau de lavage pour la traiter et la réutiliser.
Il est impératif pour toute station de lavage de s'informer et de se conformer aux réglementations locales, qui peuvent inclure des directives supplémentaires ou plus strictes que les principes généraux mentionnés ci-dessus.
Quel est le lien entre les propriétés thermodynamiques et le traitement des déchets?
Dans le contexte du recyclage et du traitement des déchets, les propriétés thermodynamiques peuvent affecter les processus suivants :
1. Incinération : La combustion des déchets pour produire de l'énergie repose sur des réactions exothermiques. La chaleur libérée pendant la combustion dépend des propriétés thermiques des matériaux et de leur capacité à libérer de l'énergie. La connaissance de l'enthalpie de réaction et de la chaleur spécifique des déchets est cruciale pour optimiser la combustion et la récupération d'énergie.
2. Pyrolyse et gazéification : Ces processus de traitement thermique transforment les déchets solides en gaz combustibles, huiles ou charbon par des réactions thermochimiques sans oxygène ou avec une quantité limitée d'oxygène. Les propriétés thermodynamiques des déchets déterminent les conditions de température et de pression nécessaires pour initier et maintenir ces transformations.
3. Compostage et digestion anaérobie : Bien que ces processus biologiques se produisent à des températures plus basses que l'incinération, la thermodynamique joue un rôle dans la vitesse de décomposition des matières organiques. La chaleur produite par l'activité microbienne doit être gérée pour maintenir des conditions optimales pour la décomposition.
4. Traitement des eaux usées : Les processus de traitement thermique tels que l'évaporation ou la distillation peuvent être utilisés pour purifier l'eau contaminée par des déchets industriels. La pression de vapeur et l'enthalpie de vaporisation sont des propriétés thermodynamiques clés qui influencent l'efficacité et la consommation d'énergie de ces processus.
En ce qui concerne les produits spécifiques liés au traitement des déchets et aux propriétés thermodynamiques, voici quelques exemples :
- Les systèmes de déshydratation thermique comme le "GEB 1000" pour les déchets alimentaires et organiques utilisent les propriétés thermiques des déchets pour réduire leur volume et poids par évaporation de l'eau.
- Les systèmes de traitement des eaux usées comme le "BioBarrier® MBR" peuvent inclure des étapes de traitement thermique qui dépendent des propriétés thermodynamiques des contaminants pour les séparer de l'eau.
- Les pompes péristaltiques à basse pression comme le "PCM Delasco™ Z" sont conçues pour transférer des matériaux à différentes températures et viscosités, où les propriétés thermiques influencent la pompe et la sélection des matériaux.
La compréhension des propriétés thermodynamiques est donc essentielle pour concevoir des systèmes de traitement des déchets efficaces, économes en énergie et respectueux de l'environnement.
Quelles sont les solutions possibles pour évacuer les eaux de lavage vers les réseaux d'assainissement selon les normes à respecter ?
Voici plusieurs solutions techniques qui peuvent répondre à ces exigences :
1. Prétraitement des eaux de lavage :
- Installation de séparateurs d'hydrocarbures pour retirer huiles et graisses.
- Utilisation de dégrilleurs, comme le MyTEE® de BioMicrobics, pour éliminer les solides en suspension et prévenir les obstructions dans le système d'assainissement.
2. Traitement biologique :
- Mise en place de bioréacteurs à membrane, tels que le système BioBarrier® HSMBR® de BioMicrobics, qui peuvent traiter efficacement les eaux usées à forte charge en éliminant les contaminants organiques et inorganiques, et permettent la réutilisation de l'eau traitée.
3. Traitement physico-chimique :
- Utilisation de floculants et de coagulants pour agglomérer les particules fines facilitant leur séparation de l'eau.
- Installation de filtres à sable ou à disques pour la filtration fine, comme ceux proposés par Amiad avec les gammes TAF et SAF.
4. Désinfection :
- Emploi de systèmes de désinfection UV, à l'instar de la gamme BIO-UV IBP+ qui est certifiée ACS Industrie Alimentaire, pour éliminer les micro-organismes pathogènes.
5. Réutilisation de l'eau traitée :
- Mise en place de systèmes de récupération d'eau, comme le BioBarrier® MBR, pour réutiliser l'eau dans des procédés ne nécessitant pas d'eau potable, réduisant ainsi le volume total d'eau à évacuer.
6. Dosage de produits chimiques :
- Utilisation de pompes doseuses, comme la pompe doseuse hydro-motrice D9WL3000 de Dosatron, pour ajuster le pH ou ajouter des désinfectants avant le rejet.
Il est à noter que chaque installation nécessite une évaluation spécifique pour déterminer la solution la plus adaptée en fonction des volumes d'eau de lavage, de la composition des eaux usées, des normes de rejet en vigueur et des possibilités de traitement sur site. En outre, l'intégration de dispositifs de mesure et de contrôle, comme des capteurs et des systèmes de gestion automatisés, permet de surveiller la qualité de l'eau et d'assurer la conformité avec les normes d'assainissement.
Quelles sont les dimensions d'une microstation 3000l ?
En général, une microstation d'épuration de 3 000 litres destinée à un assainissement non collectif pour une habitation individuelle ou un petit collectif pourrait avoir les dimensions approximatives suivantes :
- Longueur : 2 à 3 mètres
- Largeur : 1 à 2 mètres
- Hauteur : 1,5 à 2,5 mètres
Ces dimensions incluent souvent la cuve de la microstation ainsi que les composants internes nécessaires au traitement biologique des eaux usées, comme le compartiment de décantation primaire, le réacteur biologique et le clarificateur.
Il est important de noter que les spécifications précises doivent être obtenues directement auprès du fabricant ou du fournisseur de la microstation d'épuration. De plus, certains modèles peuvent être plus compacts ou avoir des formes conçues pour optimiser l'espace et faciliter l'installation dans des environnements restreints.
Par exemple, les produits tels que le MicroFAST® ou le BioBarrier® MBR, mentionnés dans la liste de produits liés à la microstation d'épuration, sont des systèmes modulaires et peuvent être personnalisés en termes de capacité et de dimensions pour répondre aux besoins spécifiques d'un projet. Pour une estimation précise des dimensions, il serait nécessaire de consulter la documentation technique de ces produits ou de contacter directement le fabricant.
Quelles sont les normes environnementales à respecter pour l'installation d'une station de lavage pour vélos ? Je suis loueur de vélos et souhaite mettre à disposition du public une station de lavage vélo.
1. **Gestion des eaux usées** : Toute station de lavage doit être équipée d'un système de traitement des eaux usées pour éviter la pollution des eaux de surface et souterraines. Les normes applicables peuvent inclure la réglementation locale ou nationale sur la qualité des rejets d'eaux usées. Il faut s'assurer que les eaux usées sont collectées et traitées conformément aux normes avant d'être rejetées dans le système d'égouts ou dans l'environnement.
2. **Utilisation de produits biodégradables** : L'utilisation de détergents ou de produits de nettoyage doit respecter les réglementations sur les produits chimiques. Il est recommandé d'utiliser des produits biodégradables et écologiques pour minimiser l'impact environnemental.
3. **Économie d'eau** : Les dispositifs permettant de réduire la consommation d'eau, comme les systèmes de recyclage de l'eau ou les buses à haute efficacité, sont encouragés afin de respecter les principes de développement durable.
4. **Gestion des déchets** : Il est nécessaire de mettre en place un système de gestion des déchets solides et liquides générés par la station de lavage.
5. **Certifications environnementales** : Le respect de normes et de certifications telles que ISO 14001 (système de management environnemental) peut être un atout pour la station de lavage.
6. **Bruit et nuisances** : Il faut également prendre en compte les normes relatives à la pollution sonore, surtout si la station est située à proximité de zones résidentielles ou de repos.
En ce qui concerne les produits spécifiques, voici quelques exemples qui pourraient être utiles pour une station de lavage vélo respectueuse de l'environnement :
- **Systèmes de traitement et de réutilisation des eaux usées** comme le BioBarrier® MBR, qui traite les eaux usées et les rend réutilisables pour l'irrigation ou d'autres applications non potables.
- **Pompes doseuses hydro-motrices** comme celles de la gamme Dosatron, qui permettent de doser précisément les produits de nettoyage tout en économisant de l'eau.
- **Dégrilleurs** comme le MyTEE® pour filtrer les solides et protéger les systèmes d'épuration des eaux usées.
- **Systèmes de réacteurs UV** comme ceux de la gamme BIO-UV, qui désinfectent l'eau sans l'utilisation de produits chimiques nocifs.
Il est essentiel de se référer aux réglementations locales, car les normes peuvent varier considérablement d'un pays ou d'une région à l'autre. Il est également recommandé de consulter les autorités environnementales locales pour obtenir des directives spécifiques sur les exigences réglementaires pour l'installation d'une station de lavage pour vélos.
Quelles sont les méthodes d'élimination des chlorures dans l'eau ?
1. **Échange d'ions**: Cette méthode implique l'utilisation de résines échangeuses d'ions qui remplacent les ions chlorure par d'autres ions, généralement des ions hydrogène ou hydroxyde. Les résines échangeuses d'ions doivent être régénérées périodiquement avec des solutions de sel ou d'acide.
2. **Nanofiltration et osmose inverse**: Ces techniques de filtration membranaire sont très efficaces pour éliminer les chlorures ainsi que d'autres sels dissous. L'osmose inverse, en particulier, est capable de retenir jusqu'à 98 % des ions chlorure présents dans l'eau.
3. **Évaporation**: L'évaporation peut être utilisée pour séparer les chlorures de l'eau, en particulier dans les processus industriels. Cependant, cette méthode est énergivore et peut ne pas être pratique pour de grands volumes d'eau.
4. **Distillation**: Semblable à l'évaporation, la distillation permet de séparer les ions chlorure de l'eau par évaporation et condensation. Cette méthode est également coûteuse en énergie et n'est pas souvent utilisée pour le traitement à grande échelle des eaux usées.
5. **Électrodialyse**: Cette technique utilise un courant électrique et des membranes ioniques pour séparer les ions chargés, y compris les chlorures, de l'eau. L'électrodialyse est efficace, mais son coût et sa complexité limitent son application à certaines industries spécifiques.
6. **Précipitation chimique**: Certains procédés chimiques peuvent être utilisés pour précipiter les chlorures sous forme de sels moins solubles qui peuvent ensuite être filtrés et éliminés.
7. **Adsorption**: Les charbons actifs ou d'autres matériaux adsorbants peuvent être utilisés pour éliminer les chlorures de l'eau, bien que cette méthode soit généralement plus adaptée à l'élimination d'autres contaminants.
8. **Traitement biologique**: Bien que moins courant pour l'élimination des chlorures, certains processus biologiques peuvent être utilisés pour convertir les chlorures en gaz chlorure, qui est ensuite éliminé de l'eau. Cependant, cette méthode nécessite des conditions de traitement spécifiques et n'est pas largement répandue.
Parmi les produits mentionnés précédemment, ceux qui pourraient être liés à l'élimination des chlorures comprennent les systèmes de traitement par osmose inverse comme l'Evac MBR pour les applications marines, ou des produits de la gamme BioBarrier® pour le recyclage des eaux usées qui pourraient intégrer des étapes de traitement capables de réduire les concentrations de chlorures. La sélection de la méthode appropriée dépendra de la concentration en chlorures, du volume d'eau à traiter, des coûts opérationnels et des exigences réglementaires spécifiques.
Quelle est la réglementation des eaux rejetées pour la création d'une station de lavage en entreprise pour les véhicules de chantier?
1. Normes de rejet :
Les eaux utilisées pour le lavage de véhicules contiennent souvent des polluants tels que des hydrocarbures, des métaux lourds, des matières en suspension et des détergents. Les eaux rejetées doivent donc être traitées afin de respecter les valeurs limites de concentration en polluants fixées par la réglementation locale ou nationale avant leur rejet dans le milieu naturel ou le réseau d'assainissement.
2. Autorisations et permis :
Pour ouvrir une station de lavage, il est généralement nécessaire d'obtenir une autorisation préfectorale ou un permis environnemental, en fonction des seuils de capacité et de rejet. Ce processus implique de fournir une étude d'impact sur l'environnement et un plan de gestion des eaux usées.
3. Traitement des eaux usées :
Le traitement des eaux usées de lavage doit permettre de séparer les huiles et les hydrocarbures, de réduire la charge en détergents et de filtrer les matières en suspension. Des solutions comme les séparateurs d'hydrocarbures, les filtres à sable, les systèmes de traitement biologique ou les unités de traitement membranaire (par exemple, les réacteurs biologiques à membrane BioBarrier® MBR pour la réutilisation de l'eau) peuvent être utilisées.
4. Réutilisation de l'eau :
La réglementation encourage la réutilisation de l'eau traitée pour réduire la consommation d'eau douce. Des systèmes de recyclage d'eau, comme les systèmes de réutilisation de l'eau BioBarrier® HSMBR®, peuvent être installés pour traiter et réutiliser les eaux usées.
5. Gestion des boues :
Les boues résultant du traitement des eaux usées doivent être éliminées ou valorisées conformément à la législation sur les déchets.
6. Réglementation spécifique :
Certains pays ou régions peuvent imposer des normes supplémentaires, telles que des restrictions sur l'usage de certains produits chimiques ou des exigences en matière d'économie d'eau.
7. Conformité aux normes internationales :
Les installations doivent également se conformer à des normes internationales comme la norme ISO 14001 pour le management environnemental, qui peut influencer la conception et l'exploitation des stations de lavage.
Il est essentiel de consulter les autorités locales compétentes pour obtenir des informations précises et actualisées sur la réglementation applicable à la création et à l'exploitation d'une station de lavage d'entreprise pour les véhicules de chantier dans la juridiction concernée.
Quels paramètres prendre en compte pour choisir un système hors sol pour traitement des eaux de lavage de conteneurs réfrigérés ?
1. Nature des contaminants : Identifier la composition chimique et biologique des eaux de lavage (huiles, graisses, détergents, organismes pathogènes, etc.) pour choisir un système adapté aux types de contaminants à éliminer.
2. Débit de traitement : Évaluer le volume d'eau à traiter provenant du lavage des conteneurs réfrigérés et choisir un système capable de gérer le débit nécessaire tout en respectant les normes de rejet.
3. Concentration des polluants : Mesurer la concentration des polluants dans les eaux de lavage pour déterminer le niveau de traitement requis et la capacité de traitement du système.
4. Réglementation environnementale : Connaître les normes locales et fédérales en matière de rejet d'eaux usées pour s'assurer que le système choisi permet de respecter ces normes.
5. Espace disponible : Considérer l'espace alloué pour l'installation du système hors sol et s'assurer qu'il s'intègre dans les contraintes spatiales du site.
6. Coûts d'exploitation et de maintenance : Évaluer les coûts d'exploitation associés à l'utilisation et à la maintenance du système, y compris la consommation d'énergie, le remplacement des consommables, et les éventuelles interventions techniques.
7. Facilité d'installation et d'utilisation : Préférer un système facile à installer et à utiliser, avec une interface utilisateur intuitive et des procédures de maintenance simples.
8. Durabilité et fiabilité : Choisir un système robuste et fiable, capable de résister à l'environnement et aux conditions d'utilisation spécifiques du site.
9. Options de traitement avancé : Envisager des technologies de traitement avancées telles que l'oxydation avancée, la filtration membranaire, ou la désinfection par UV si nécessaire pour répondre à des exigences de rejet spécifiques.
En ce qui concerne les produits, des systèmes tels que le BioBarrier® MBR de BioMicrobics pourraient être appropriés, car ils offrent un traitement biologique avancé en plus de la filtration membranaire pour une eau de haute qualité. Les réacteurs UV de la gamme BIO-UV, comme le BIO-UV Gamme IBP+, pourraient être utilisés pour la désinfection sans produits chimiques. Pour les contaminants spécifiques comme les huiles et les graisses, des dispositifs de séparation comme le MyTEE® ou des filtres autonettoyants tels que ceux de la gamme SAF d'Amiad pourraient être envisagés.
Il est recommandé de consulter des experts en traitement des eaux et de réaliser des analyses détaillées avant de faire un choix final afin d'assurer que le système sélectionné répond à tous les critères nécessaires pour le traitement efficace des eaux de lavage des conteneurs réfrigérés.
Pour une plateforme de lavage pour bétaillères, je veux caractériser et quantifier les effluents pour définir une solution de prétraitement et traitement. Quels paramètres pour le dimensionnement? La charge polluante? Le volume d'eau par véhicule?
1. **Nature des effluents** : Il est important de comprendre la composition des effluents générés par le lavage des bétaillères. Ces eaux peuvent contenir des matières organiques (excréments, aliments...), des micro-organismes, et potentiellement des produits chimiques utilisés pour le nettoyage.
2. **Charge polluante** : La charge polluante est un paramètre essentiel, et elle est généralement exprimée en termes de Demande Biochimique en Oxygène (DBO5), Demande Chimique en Oxygène (DCO), Matières en Suspension (MES), azote (N), phosphore (P) et potentiellement des graisses et huiles. La mesure de ces indices permettra de déterminer la charge polluante totale et d'identifier les traitements nécessaires pour respecter les normes de rejet.
3. **Volume d'eau par véhicule** : Estimez le volume d'eau utilisé par véhicule pour déterminer le débit des eaux de lavage. Ce volume peut varier selon les pratiques de lavage, l'intensité de l'usage des bétaillères et la fréquence de lavage.
4. **Débit horaire et journalier** : L'évaluation du débit horaire maximal et du débit journalier moyen est nécessaire pour dimensionner correctement les équipements de traitement. Cela inclut la capacité des bassins de décantation, des filtres, des pompes, etc.
5. **Variabilité des charges** : Les fluctuations journalières et saisonnières de l'activité de lavage peuvent affecter la performance du système de traitement. Il est donc important de planifier une capacité de traitement flexible ou modulable.
6. **Prétraitement** : Des solutions comme les dégrilleurs (par exemple le Dégrilleur MyTEE®) peuvent être utilisées pour séparer les solides inorganiques et les sédiments. Cela protège les équipements en aval et améliore l'efficacité du traitement.
7. **Traitement biologique** : Des systèmes comme les réacteurs à membrane (BioBarrier® MBR) peuvent être utilisés pour traiter les effluents de manière biologique, en éliminant les matières organiques et en réduisant la charge polluante.
8. **Réutilisation de l'eau** : Si vous envisagez la réutilisation de l'eau traitée, des systèmes de désinfection UV (comme la BIO-UV Gamme IAM) ou des filtres autonettoyants (comme la gamme SAF d'Amiad) peuvent être requis pour atteindre la qualité d'eau nécessaire.
9. **Normes et réglementations** : Les solutions de traitement doivent être conformes aux normes locales et nationales concernant la qualité des eaux rejetées.
10. **Maintenance et exploitation** : Choisissez des systèmes nécessitant peu de maintenance et faciles à exploiter, pour minimiser les coûts opérationnels et assurer une performance constante.
En résumé, pour dimensionner un système de prétraitement et traitement des eaux de lavage pour bétaillères, il est crucial de réaliser des analyses détaillées des effluents pour déterminer la charge polluante et le volume d'eau généré. Ensuite, il convient de choisir les technologies adaptées en fonction des résultats des analyses, des besoins de réutilisation de l'eau, des contraintes opérationnelles et des réglementations en vigueur.
Est-ce qu'une entreprise de TP doit avoir une station de lavage pour ses engins de chantier?
Dans de nombreux pays, les entreprises de travaux publics (TP) sont soumises à des réglementations environnementales strictes en matière de gestion des eaux de lavage et du ruissellement des chantiers. Ces réglementations visent à prévenir la pollution de l'eau et du sol par les contaminants tels que les hydrocarbures, les particules de boue, les sédiments et autres débris qui peuvent être présents sur les engins de chantier.
Bien que la réglementation puisse varier selon les pays et les juridictions locales, dans beaucoup d'endroits, il est effectivement nécessaire, ou du moins fortement recommandé, de mettre en place une station de lavage pour nettoyer les engins de chantier avant qu'ils ne quittent le site. Cela permet de minimiser le transfert de polluants vers les routes publiques et d'autres sites, et de gérer de manière appropriée les eaux usées générées par le processus de lavage.
Les stations de lavage pour engins de chantier sont conçues pour collecter, traiter et recycler l'eau utilisée pour nettoyer les véhicules. Elles peuvent être équipées de divers systèmes pour traiter les eaux de lavage, tels que :
1. **Systèmes de traitement biologique**, comme le **BioBarrier® MBR** ou le **HighStrengthFAST®**, qui peuvent traiter les eaux usées à un niveau élevé, permettant leur réutilisation sur site ou leur rejet dans l'environnement en conformité avec les normes environnementales.
2. **Systèmes de séparation des huiles et des hydrocarbures**, qui éliminent les huiles et les graisses des eaux de lavage avant qu'elles ne soient rejetées ou recyclées.
3. **Dégrilleurs**, tels que le **Dégrilleur MyTEE®**, qui séparent les solides inorganiques et les sédiments des eaux de lavage pour protéger les équipements en aval et améliorer la qualité de l'eau traitée.
4. **Pompes doseuses**, comme la **Pompe doseuse hydro-motrice Dosatron D9WL2** ou le **P1000**, qui peuvent être utilisées pour injecter des traitements chimiques dans les eaux de lavage afin d'améliorer leur qualité avant leur traitement ou leur libération.
5. **Systèmes de filtration**, tels que le **TAF** ou le **SAF**, qui filtrent les particules fines et les contaminants des eaux de lavage.
Il est important de noter que la mise en place d'une station de lavage pour les engins de chantier doit être conforme aux réglementations locales et nationales. Il est conseillé de consulter les autorités compétentes et/ou un expert en réglementation environnementale pour obtenir des informations précises et à jour sur les obligations légales et les meilleures pratiques à adopter dans ce domaine.
Comment traiter efficacement les filtres remplis de particules fines pour améliorer la qualité de l'air ?
1. Sélection de filtres de haute qualité : Les filtres HEPA (High Efficiency Particulate Air) sont capables de capturer au moins 99,97 % des particules de 0,3 micron ou plus, ce qui les rend extrêmement efficaces pour filtrer les particules fines. Des filtres avec une classification MERV (Minimum Efficiency Reporting Value) élevée peuvent également être considérés pour des applications industrielles ou commerciales.
2. Entretien régulier : Les filtres doivent être inspectés et remplacés régulièrement pour assurer leur efficacité. Les filtres encrassés peuvent réduire le débit d'air et l'efficacité du système de ventilation, augmentant ainsi la consommation d'énergie et réduisant la qualité de l'air.
3. Pré-filtration : L'utilisation de pré-filtres peut prolonger la durée de vie des filtres HEPA ou à haute MERV en capturant les particules plus grosses avant qu'elles n'atteignent les filtres fins.
4. Purification de l'air complémentaire : Des technologies telles que les ioniseurs, les purificateurs d'air à plasma ou à rayonnement UV-C peuvent être utilisées en complément des filtres pour neutraliser les virus, les bactéries et les composés organiques volatils (COV).
5. Contrôle de l'humidité : Maintenir une humidité relative appropriée peut réduire la survie des particules fines et des pathogènes dans l'air.
6. Ventilation adéquate : Assurer une ventilation suffisante avec de l'air extérieur peut diluer les concentrations de particules fines à l'intérieur.
En ce qui concerne les produits spécifiques, des solutions comme le BioBarrier® MBR, mentionné précédemment, sont conçues pour des applications de traitement de l'eau, et non spécifiquement pour l'air. Cependant, pour le traitement de l'air dans un contexte industriel où les filtres sont fortement sollicités, des systèmes de filtration d'air centralisés avec des filtres HEPA ou à très haute efficacité, associés à des systèmes de gestion de l'air comme la récupération de chaleur et l'échange d'air, pourraient être envisagés. Des produits tels que les purificateurs d'air industriels ou les systèmes de ventilation avec récupération de chaleur et contrôle de l'humidité peuvent aussi jouer un rôle complémentaire important.
Il est recommandé de consulter un professionnel en qualité de l'air intérieur pour évaluer les besoins spécifiques de l'installation et choisir les produits et stratégies les plus appropriés pour améliorer la qualité de l'air.
Quels sont les matériaux et équipements nécessaires pour mettre en place une station de pompage au lac?
1. Pompes submersibles ou de surface:
Selon la configuration de la station de pompage et l'accessibilité du lac, on peut choisir entre des pompes submersibles (comme la "Série DS/DSK" ou "Série TPV" pour l'eau peu chargée, ou la "Série BAV" pour des eaux plus chargées avec des solides en suspension) et des pompes de surface (comme une technologie Gorman-Rupp Station Turbo pour les eaux chargées). Les pompes submersibles sont immergées dans l'eau et conviennent aux installations où le niveau d'eau peut varier, tandis que les pompes de surface sont installées hors de l'eau et peuvent nécessiter un système d'amorçage.
2. Tuyauterie et raccords:
La tuyauterie doit être résistante à la corrosion et adaptée au type de fluide pompé. Des matériaux comme le PVC, le PEHD (polyéthylène haute densité) ou l'acier inoxydable sont souvent utilisés. Les raccords doivent garantir une connexion étanche et résistante à la pression.
3. Équipement de contrôle et d'automatisation:
Des dispositifs de contrôle tels que le "SEQUETROL STARTER" ou des automates programmables sont essentiels pour gérer les opérations de la pompe, y compris le démarrage et l'arrêt automatiques en fonction des niveaux d'eau. Un détecteur de niveau pneumatique (comme le modèle "032.V036.000") peut être utilisé pour une régulation précise du démarrage et de l'arrêt des pompes.
4. Dispositifs de protection électrique:
Une protection thermique de moteur électrique est nécessaire pour prévenir les surcharges et les dommages au moteur. Des sectionneurs électriques de commande de moteur triphasé assurent la sécurité de l'opération et la protection du système.
5. Système d'alimentation électrique:
Un approvisionnement électrique fiable est nécessaire pour alimenter les pompes et l'équipement de contrôle. Cela peut inclure des transformateurs, des panneaux de distribution et des protections telles que des disjoncteurs et des fusibles.
6. Structures de support et de logement:
Des structures en béton ou en acier peuvent être nécessaires pour supporter les pompes et les équipements associés. Des abris ou des armoires étanches peuvent abriter les composants électriques et de contrôle pour les protéger des éléments.
7. Systèmes de filtration et prétraitement:
En fonction de la qualité de l'eau du lac et de l'usage final de l'eau pompée, des systèmes de filtration ou de prétraitement comme le "BioBarrier® MBR" (pour les eaux usées) ou des solutions de prise d'eau passive comme le "MaxFlow" de Johnson Screens peuvent être nécessaires pour éliminer les particules en suspension et d'autres contaminants avant le pompage.
8. Équipements auxiliaires:
Des équipements auxiliaires tels que des clapets anti-retour, des vannes, des manomètres et des débitmètres sont également nécessaires pour le bon fonctionnement et le suivi du système.
9. Sécurité et accessoires:
Des éléments de sécurité tels que des barrières, des garde-corps et des échelles doivent être inclus pour assurer la sécurité du personnel d'exploitation. Des accessoires tels que des câbles, des chaînes de levage et des connecteurs électriques sont également requis pour la maintenance et l'exploitation de la station de pompage.
Il est important de noter que la conception et la spécification des matériaux et équipements doivent répondre aux normes et réglementations locales, et prendre en compte les considérations environnementales, les exigences de débit, la hauteur de refoulement et les conditions climatiques. Une évaluation détaillée du site et une planification minutieuse sont essentielles pour garantir la réussite et la durabilité d'une station de pompage au bord d'un lac.
Est-il possible d'utiliser le système Recover pour alimenter les lavabos de salle de bain avec de l'eau recyclée de qualité suffisante ? Existe-t-il également des citernes de grande contenance pour ce système de recyclage des eaux grises innovant ?
La réglementation interdit cet usage en France. Nous vous conseillons d'utiliser le BioBarrier qui permet de re-potabiliser l'eau.
Est-ce que le produit Recover est-il adapté pour des installations de grande envergure comme un centre aquatique ?
Pour les centres aquatiques, nous proposons le BioBarrier HSMBR ou notre solution sur skid ACQUA-UF en fonction des besoins
Doit-on installer une station de traitement des eaux de lavage pour une unité de conditionnement de fruits et légumes frais qui n'utilise pas d'eau dans son process, avec une consommation d'environ 100L/jour?
Cependant, il est important de considérer les aspects réglementaires et environnementaux associés à la gestion des eaux usées dans l'industrie agroalimentaire. Les eaux de lavage peuvent contenir des contaminants organiques, des résidus de produits de nettoyage, des micro-organismes et d'autres substances qui, si elles ne sont pas traitées correctement, peuvent avoir un impact négatif sur l'environnement lorsqu'elles sont rejetées dans le système d'assainissement ou dans un milieu naturel.
Voici quelques considérations à prendre en compte pour déterminer la nécessité d'installer une station de traitement des eaux de lavage:
1. Réglementations locales: Vérifiez les exigences réglementaires locales concernant le traitement et le rejet des eaux usées générées par les activités de conditionnement de fruits et légumes. Les normes peuvent varier selon la juridiction et peuvent imposer des limites sur les concentrations de certains contaminants dans les eaux usées rejetées.
2. Impact environnemental: Évaluez l'impact potentiel des eaux de lavage sur l'environnement local. Si les eaux usées sont susceptibles de contenir des substances nocives, un traitement préalable peut être nécessaire pour éviter la contamination des sols, des eaux souterraines ou des cours d'eau.
3. Solutions de traitement alternatives: Pour de petits volumes comme 100L/jour, des solutions de traitement des eaux de lavage in-situ ou des systèmes compacts pourraient être envisagés, tels que les systèmes de filtration, les dispositifs de désinfection UV, ou les petits systèmes de traitement biologique.
4. Pratiques de gestion de l'eau: Il peut être possible de réduire les besoins en traitement en adoptant des pratiques de gestion de l'eau qui minimisent la contamination des eaux de lavage, par exemple, l'utilisation de produits de nettoyage biodégradables et non toxiques.
5. Coût-bénéfice: Analysez le coût de l'installation et de la maintenance d'une station de traitement par rapport aux avantages de conformité réglementaire, de protection de l'environnement et d'éventuelles économies d'eau par le recyclage.
Si une station de traitement est jugée nécessaire, des produits comme le "BioBarrier® MBR" pourraient être adaptés pour le traitement et la réutilisation des effluents à petite échelle. Pour la désinfection simple, un système comme le stérilisateur UV "BIO-UV IBP+" pourrait être suffisant pour traiter les eaux de lavage avant leur rejet.
En conclusion, bien qu'une station de traitement à part entière ne soit pas forcément requise pour une si petite quantité d'eau, il est essentiel d'effectuer une évaluation détaillée en prenant en compte les réglementations, l'impact environnemental et les solutions alternatives de traitement de l'eau. Une décision éclairée dépendra de ces facteurs et des objectifs spécifiques de l'entreprise en matière de durabilité et de conformité environnementale.
Quelles sont les meilleures méthodes pour traiter l'eau usée d'une station de lavage semi-professionnelle ?
1. **Prétraitement** :
- **Dégrillage** : Élimination des gros solides grâce à des grilles ou des tamis. Un produit comme le dégrilleur MyTEE® peut être utilisé pour cette étape.
- **Décantation** : Séparation des matières en suspension par gravité dans un décanteur ou un bassin de sédimentation.
2. **Traitement biologique** :
- **Biofiltration** : Utilisation de micro-organismes fixés sur un support pour dégrader la matière organique. Les systèmes comme le BioBarrier® HSMBR® ou le HighStrengthFAST® sont des exemples de systèmes biologiques avancés qui utilisent des réacteurs à membrane ou à boues activées pour traiter les eaux usées avec une forte charge organique.
3. **Traitement physico-chimique** :
- **Floculation/Coagulation** : Ajout de produits chimiques pour agglomérer les particules fines et faciliter leur séparation.
- **Filtration** : Passage de l'eau à travers des filtres pour éliminer les particules fines restantes.
4. **Traitement avancé** :
- **Désinfection** : Utilisation de chlore, ozone, ou UV pour éliminer les pathogènes.
- **Osmose inverse ou ultrafiltration** : Techniques de séparation membranaire pour éliminer les solides dissous, les métaux lourds et certains polluants organiques. Le BioBarrier® MBR est un exemple de système utilisant l'ultrafiltration pour fournir une eau de qualité réutilisable.
5. **Traitement et réutilisation des eaux usées spécifiques** :
- Pour des applications telles que le recyclage des eaux de lavage, des systèmes comme le BioBarrier® Winery peuvent être adaptés pour traiter les effluents spécifiques des stations de lavage semi-professionnelles et permettre leur réutilisation dans le processus de lavage ou pour d'autres besoins en eau non potable.
6. **Gestion des boues** :
- **Épaississement et déshydratation** : Concentration des boues produites avant leur élimination ou leur traitement ultérieur.
7. **Systèmes de récupération et de réutilisation de l'eau** :
- **Recyclage sur site** : Réutilisation de l'eau traitée pour des lavages subséquents, ce qui réduit la consommation d'eau et les coûts d'exploitation. Des systèmes comme le SlurryCup et le GritCup peuvent être implémentés pour améliorer la séparation des particules et la réduction des matières en suspension avant le recyclage.
En fonction de la réglementation locale, du volume d'eau à traiter, de la composition des eaux usées et des objectifs de réutilisation, la combinaison optimale de ces méthodes doit être sélectionnée. Il est également important de mettre en place un système de gestion et de contrôle des processus, comme l'utilisation de pompes doseuses (par exemple, la série EWN-R ou la pompe pneumatique P1000 pour l'injection de produits chimiques) pour maintenir la qualité de l'eau conforme aux normes requises.
Comment dimensionner une STEP pour une surface de 112 m2?
1. **Le débit d'effluent à traiter** : C'est la quantité d'eaux usées générée quotidiennement, souvent mesurée en mètres cubes par jour (m³/jour). Ce débit peut être estimé à partir du nombre d'habitants (Equivalent Habitants, EH) et d'un coefficient de production d'eaux usées par habitant.
2. **La concentration des polluants** : Les caractéristiques physico-chimiques des eaux usées, telles que la Demande Biochimique en Oxygène (DBO), la Demande Chimique en Oxygène (DCO), les Matières En Suspension (MES), l'azote, le phosphore, etc., sont déterminantes pour choisir le type de traitement.
3. **Les normes de rejet** : Les exigences réglementaires locales en termes de qualité d'effluent traité qui peut être rejeté dans le milieu naturel.
4. **Les technologies de traitement** : Selon les contraintes de débit, de pollution et de normes de rejet, différentes technologies peuvent être envisagées, par exemple les lits bactériens, les boues activées, les lagunages, les bioréacteurs à membrane (MBR), etc.
5. **Les conditions climatiques et géographiques** : Température, pluviométrie, type de sol, nappe phréatique, et autres facteurs environnementaux qui influencent le choix des technologies et le dimensionnement des ouvrages.
Pour dimensionner une STEP sur une surface de 112 m², il est d'abord nécessaire de connaître le débit des eaux usées et leur composition. Puis, en fonction des technologies choisies et des contraintes du site, on peut déterminer l'occupation au sol de chaque composant de la station (bassin de décantation, bassin d'aération, clarificateur, etc.).
Par exemple, pour une petite collectivité ou un ensemble résidentiel, si on considère un système de traitement par boues activées, on peut utiliser des produits comme les MicroFAST® ou BioBarrier® MBR de BioMicrobics, qui sont des solutions compactes et modulaires adaptées aux petites surfaces et qui permettent de traiter efficacement les eaux usées tout en respectant les normes environnementales.
Pour un dimensionnement précis, un ingénieur spécialisé en traitement des eaux usées établira un projet intégrant tous les aspects techniques et réglementaires en fonction des données spécifiques au projet. Il faudra également prévoir une marge pour d'éventuelles augmentations futures du débit et de la concentration des polluants.
Quels sont les équipements mécaniques couramment utilisés dans les stations de traitement des eaux ?
1. Pompes : Elles sont essentielles pour le transfert des eaux usées entre les différents processus de traitement. On trouve des pompes centrifuges, des pompes submersibles (comme la Série BAV), des pompes à cavité progressive (comme la Pompe à impulseur HIDROSTAL), et des pompes doseuses pour l'addition de réactifs chimiques (comme la série EJ-R de EMEC pour les produits de désinfection).
2. Agitateurs et mélangeurs : Utilisés pour homogénéiser les eaux usées et faciliter le contact avec les réactifs de traitement ou pour maintenir en suspension la biomasse dans les bassins d'aération. Un exemple serait l'Agitateur à entrée latérale de LUMPP® pour les bassins de traitement biologique.
3. Dégrilleurs et tamis : Ces équipements servent à retirer les débris solides des eaux usées en entrée de station. Des dispositifs comme le Dégrilleur MyTEE® peuvent être utilisés pour cette étape.
4. Décanteurs et clarificateurs : Ils permettent la séparation des boues activées de l'eau épurée par sédimentation. Le DÉCANTEUR LAMELLAIRE (Lamella Settler) de KWI France est un exemple de clarificateur à haute efficacité utilisant la technologie lamellaire.
5. Aérateurs : Utilisés dans les bassins d'aération pour introduire de l'oxygène nécessaire au traitement biologique des eaux usées. Les diffuseurs de fines bulles comme les JetFlex TD et HD sont des exemples courants.
6. Flottateurs : Ils permettent de séparer les matières en suspension ou les huiles et graisses par flottation à air dissous. Des systèmes comme le MEGACELL VERTICAL MCV 8 - 100 de KWI France sont utilisés pour cette fonction.
7. Équipements de filtration : Filtres à sable, à disque, ou à membrane (comme le BioBarrier® MBR pour une filtration fine et la réutilisation des eaux traitées).
8. Systèmes de désinfection : Lampes UV, générateurs d'ozone ou systèmes de chloration pour éliminer les pathogènes restants. Le système CHLOR’IN peut être utilisé pour la production et l'injection de chlore par électrolyse.
9. Convoyeurs à vis : Pour le transport et la déshydratation des boues extraites du processus de traitement.
10. Racleurs de boues : Utilisés dans les décanteurs secondaires pour collecter et acheminer les boues vers les équipements de traitement ultérieur.
11. Systèmes de dosage chimique : Comme les coffrets équipés de pompes doseuses pour l'ajout précis de coagulants, floculants ou autres produits chimiques.
Ces équipements peuvent être intégrés dans des solutions complètes et modulaires telles que les unités préfabriquées PAMCO® PACK ou PAMCO® CUBE pour les installations de petite et moyenne tailles, ou dans de grandes installations nécessitant des équipements spécifiques et sur mesure.
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