Description
Les sondes qualité de l’eau Manta+ conviennent à être utilisées dans toutes les eaux naturelles variant entre -5°C et 50°C.
Le Manta+ peut être utilisé comme un enregistreur sans surveillance, pour les contrôles ponctuels et les profilages à l’aide de l’unité d’affichage Amphibian /PDA ou peut être installé avec les systèmes de télémetrie sans fil.
Le Manta+ convient parfaitement aux applications suivantes : Interactions des eaux souterraines, intrusion saline, eau de surface, surveillance des lacs et résevoirs, surveillance des éstuaires, protection des bassins hydrographiques et des sources d’eau, surveillance des plages, l’écoulement des eaux pluviales d’orage, eaux usées, les effluents, profilage vertical, aquaculture et eaux de procédés de production.
Différentes tailles de sondes sont disponibles suivant les types de capteur que l’utilisateur entend installer.
Le Manta+ est disponible dans les dimensions suivantes (diamètre extérieur) :
2.54 cms, 5.08 cms, 7.62 cms, 10.16 cms
Toutes les tailles sont de 48 cms de longueur y compris le protecteur du capteur et le manchon de verrouillage du câble.
Paramètres disponibles
Température
Polarographique (Clark) Oxygène dissout
Oxygène dissous Optique
Conductivité ( conductance spécifique)
Salinité
TDS ( solides totaux dissous)
Turbidité
ORP (Potentiel d’Oxydo-Réduction)
pH
Profondeur
Niveau
Ammonium
Nitrate
Chlorure
TDG
Chlorophyle a
Rhodamine
Algues bleues-vertes
Caractéristiques générales
Caractéristique | Valeur |
---|---|
Diamètre Manta+20 | 4,7 cm |
Diamètre Manta+25 | 4,95 cm |
Diamètre Manta+30 | 6,22 cm |
Diamètre Manta+35 | 7,47 cm |
Diamètre Manta+40 | 10,16 cm |
Évaluation profondeur | 200 m |
Fréquence échantillonnage | 1 Hz |
Longueur avec batterie | 55,88 cm |
Longueur sans batterie | 48,26 cm |
Mémoire de données | >1 000 000 relevés |
Nombre capteurs Manta+20 | 2 |
Nombre capteurs Manta+25 | 6 |
Nombre capteurs Manta+30 | 7 |
Nombre capteurs Manta+35 | 11 |
Nombre capteurs Manta+40 | 13 |
Poids avec PAI Manta+20 | 1,27 kg |
Poids avec PAI Manta+25 | 1,09 kg |
Poids avec PAI Manta+30 | 1,13 kg |
Poids avec PAI Manta+35 | 2,27 kg |
Poids avec PAI Manta+40 | 4,08 kg |
Poids sans batterie Manta+20 | 1 kg |
Poids sans batterie Manta+25 | 0,91 kg |
Poids sans batterie Manta+30 | 0,91 kg |
Poids sans batterie Manta+35 | 1,91 kg |
Poids sans batterie Manta+40 | 4,08 kg |
Profondeur max ISE et TDG | 15 m |
Température de fonctionnement | -5°C à +50°C |
Questions récurrentes sur le Manta+
Quelles sont les obligations de la QSE ?
1. **Conformité réglementaire** : Les organisations doivent se conformer aux réglementations nationales et internationales en matière de qualité, de santé et de sécurité au travail, et de protection de l'environnement. Cela inclut, mais n'est pas limité à, les directives européennes, les lois sur la sécurité au travail, les réglementations environnementales, les codes du travail, etc.
2. **Certification et normes internationales** : Pour démontrer leur engagement envers la QSE, les organisations peuvent se faire certifier selon différentes normes internationales telles que :
- **ISO 9001** pour la gestion de la qualité.
- **ISO 45001** (anciennement OHSAS 18001) pour la gestion de la santé et de la sécurité au travail.
- **ISO 14001** pour le management environnemental.
3. **Prévention des risques** : Les organisations doivent identifier, évaluer et gérer les risques liés à la qualité, à la sécurité et à l'environnement. Cela peut impliquer des analyses de risques, la mise en place de mesures de contrôle, et la formation du personnel.
4. **Amélioration continue** : La QSE requiert une démarche d'amélioration continue. Les organisations doivent régulièrement passer en revue leurs processus et performances, et s'engager dans des cycles d'amélioration basés sur le modèle PDCA (Plan-Do-Check-Act).
5. **Gestion des ressources humaines** : Dans le cadre de la QSE, les organisations doivent s'assurer que le personnel est correctement formé et compétent. Elles doivent également promouvoir une culture de la sécurité et de la responsabilité environnementale.
6. **Suivi et mesure** : Les organisations doivent mettre en place des systèmes pour suivre et mesurer leurs performances en matière de qualité, de sécurité et d'environnement. Cela peut inclure l'utilisation de logiciels spécialisés, de capteurs et d'équipements de surveillance tels que :
- Des stations de mesure de la qualité de l'air comme le **Kunak AIR Pro** ou l'**Aeroqual AQS 1** pour surveiller les émissions atmosphériques.
- Des analyseurs de gaz tels que le **HORIBA APNA-360** ou le **MIR 9000** pour surveiller les émissions industrielles.
- Des sondes multi-paramètres comme la **Manta+** pour le suivi de la qualité de l'eau.
7. **Communication et documentation** : Les organisations doivent maintenir une documentation appropriée de leurs politiques, procédures et enregistrements QSE. Elles doivent également communiquer efficacement sur les aspects QSE avec les employés, les autorités, les clients et autres parties prenantes.
8. **Réponse aux incidents et urgences** : Les organisations doivent élaborer des plans d'intervention en cas d'urgence ou d'incident lié à la qualité, à la sécurité ou à l'environnement.
9. **Responsabilité sociale des entreprises (RSE)** : Bien que cela ne soit pas toujours formellement exigé, de nombreuses organisations intègrent la RSE dans leur démarche QSE, en prenant des mesures volontaires pour aller au-delà de la conformité réglementaire afin de contribuer positivement à la société et à l'environnement.
Il est important de noter que ces obligations ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction de la taille de l'entreprise, du secteur d'activité, du pays de localisation et de la législation spécifique en vigueur.
Quels sont les outils environnementaux tels que le screening, le plan de gestion environnementale et sociale, et l'étude d'impact environnemental et social pour les travaux routiers?
1. Screening (Criblage ou Pré-évaluation environnementale) :
Le screening est une étape préliminaire dans le processus d'évaluation environnementale. Il vise à déterminer si un projet routier est susceptible d'avoir des effets significatifs sur l'environnement et, par conséquent, si une étude d'impact environnemental et social (EIES) complète est nécessaire. Le screening examine les caractéristiques du projet, sa localisation, la sensibilité environnementale de la zone, et la probabilité d'impacts négatifs. Cela permet de définir le niveau d'examen requis et de concentrer les ressources sur les projets présentant des risques environnementaux et sociaux significatifs.
2. Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES) :
Le PGES est un document qui décrit les mesures et actions concrètes à mettre en œuvre pour atténuer, gérer ou compenser les impacts environnementaux et sociaux négatifs d'un projet routier. Il comprend généralement un ensemble de plans d'action détaillant les mesures de mitigation, les responsabilités, le calendrier, les ressources nécessaires, et les mécanismes de suivi et de contrôle. Le PGES peut également inclure des plans pour la gestion des risques de catastrophes naturelles, la protection de la biodiversité, la restauration des habitats, la gestion des déchets et la sécurité routière.
3. Étude d'Impact Environnemental et Social (EIES) :
L'EIES est une évaluation complète qui analyse en détail les impacts environnementaux et sociaux potentiels d'un projet routier. Elle examine les conséquences positives et négatives sur les composantes physiques, biologiques, socio-économiques et culturelles de l'environnement. L'EIES comporte plusieurs phases, dont la description du projet, l'analyse de l'environnement existant, la prédiction et l'évaluation des impacts, la proposition de mesures d'atténuation, et l'élaboration d'un plan de suivi. Cette étude doit être réalisée par des experts qualifiés et souvent est soumise pour approbation aux autorités environnementales compétentes.
Produits et technologies qui pourraient être utilisés dans ces processus :
- Systèmes de Géographie Informationnelle (SIG) et logiciels de modélisation environnementale pour cartographier et analyser la sensibilité environnementale et les impacts potentiels.
- Stations de mesure de la qualité de l’air telles que le Kunak AIR Pro pour surveiller les émissions de poussières et autres polluants pendant les travaux.
- Analyseurs de bruit comme le Norsonic Nor145 pour évaluer les niveaux de bruit générés par la construction et la circulation routière.
- Équipement de prélèvement et d'analyse des sols, comme le Wintex 2000, pour évaluer la contamination potentielle des sols et la nécessité de remédiation.
- Sondes de qualité d’eau comme la Manta+ pour le suivi des impacts sur les ressources en eau.
- Logiciels de gestion de projet tels que le logiciel XR pour la gestion des données environnementales et le suivi des mesures de mitigation.
Ces outils et technologies aident les planificateurs, les ingénieurs et les gestionnaires environnementaux à prendre des décisions éclairées pour la protection de l'environnement et le bien-être social tout au long des projets de travaux routiers.
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
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Quelles sont les obligations de la QSE ?
1. **Conformité réglementaire** : Les organisations doivent se conformer aux réglementations nationales et internationales en matière de qualité, de santé et de sécurité au travail, et de protection de l'environnement. Cela inclut, mais n'est pas limité à, les directives européennes, les lois sur la sécurité au travail, les réglementations environnementales, les codes du travail, etc.
2. **Certification et normes internationales** : Pour démontrer leur engagement envers la QSE, les organisations peuvent se faire certifier selon différentes normes internationales telles que :
- **ISO 9001** pour la gestion de la qualité.
- **ISO 45001** (anciennement OHSAS 18001) pour la gestion de la santé et de la sécurité au travail.
- **ISO 14001** pour le management environnemental.
3. **Prévention des risques** : Les organisations doivent identifier, évaluer et gérer les risques liés à la qualité, à la sécurité et à l'environnement. Cela peut impliquer des analyses de risques, la mise en place de mesures de contrôle, et la formation du personnel.
4. **Amélioration continue** : La QSE requiert une démarche d'amélioration continue. Les organisations doivent régulièrement passer en revue leurs processus et performances, et s'engager dans des cycles d'amélioration basés sur le modèle PDCA (Plan-Do-Check-Act).
5. **Gestion des ressources humaines** : Dans le cadre de la QSE, les organisations doivent s'assurer que le personnel est correctement formé et compétent. Elles doivent également promouvoir une culture de la sécurité et de la responsabilité environnementale.
6. **Suivi et mesure** : Les organisations doivent mettre en place des systèmes pour suivre et mesurer leurs performances en matière de qualité, de sécurité et d'environnement. Cela peut inclure l'utilisation de logiciels spécialisés, de capteurs et d'équipements de surveillance tels que :
- Des stations de mesure de la qualité de l'air comme le **Kunak AIR Pro** ou l'**Aeroqual AQS 1** pour surveiller les émissions atmosphériques.
- Des analyseurs de gaz tels que le **HORIBA APNA-360** ou le **MIR 9000** pour surveiller les émissions industrielles.
- Des sondes multi-paramètres comme la **Manta+** pour le suivi de la qualité de l'eau.
7. **Communication et documentation** : Les organisations doivent maintenir une documentation appropriée de leurs politiques, procédures et enregistrements QSE. Elles doivent également communiquer efficacement sur les aspects QSE avec les employés, les autorités, les clients et autres parties prenantes.
8. **Réponse aux incidents et urgences** : Les organisations doivent élaborer des plans d'intervention en cas d'urgence ou d'incident lié à la qualité, à la sécurité ou à l'environnement.
9. **Responsabilité sociale des entreprises (RSE)** : Bien que cela ne soit pas toujours formellement exigé, de nombreuses organisations intègrent la RSE dans leur démarche QSE, en prenant des mesures volontaires pour aller au-delà de la conformité réglementaire afin de contribuer positivement à la société et à l'environnement.
Il est important de noter que ces obligations ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction de la taille de l'entreprise, du secteur d'activité, du pays de localisation et de la législation spécifique en vigueur.
Quels sont les outils environnementaux tels que le screening, le plan de gestion environnementale et sociale, et l'étude d'impact environnemental et social pour les travaux routiers?
1. Screening (Criblage ou Pré-évaluation environnementale) :
Le screening est une étape préliminaire dans le processus d'évaluation environnementale. Il vise à déterminer si un projet routier est susceptible d'avoir des effets significatifs sur l'environnement et, par conséquent, si une étude d'impact environnemental et social (EIES) complète est nécessaire. Le screening examine les caractéristiques du projet, sa localisation, la sensibilité environnementale de la zone, et la probabilité d'impacts négatifs. Cela permet de définir le niveau d'examen requis et de concentrer les ressources sur les projets présentant des risques environnementaux et sociaux significatifs.
2. Plan de Gestion Environnementale et Sociale (PGES) :
Le PGES est un document qui décrit les mesures et actions concrètes à mettre en œuvre pour atténuer, gérer ou compenser les impacts environnementaux et sociaux négatifs d'un projet routier. Il comprend généralement un ensemble de plans d'action détaillant les mesures de mitigation, les responsabilités, le calendrier, les ressources nécessaires, et les mécanismes de suivi et de contrôle. Le PGES peut également inclure des plans pour la gestion des risques de catastrophes naturelles, la protection de la biodiversité, la restauration des habitats, la gestion des déchets et la sécurité routière.
3. Étude d'Impact Environnemental et Social (EIES) :
L'EIES est une évaluation complète qui analyse en détail les impacts environnementaux et sociaux potentiels d'un projet routier. Elle examine les conséquences positives et négatives sur les composantes physiques, biologiques, socio-économiques et culturelles de l'environnement. L'EIES comporte plusieurs phases, dont la description du projet, l'analyse de l'environnement existant, la prédiction et l'évaluation des impacts, la proposition de mesures d'atténuation, et l'élaboration d'un plan de suivi. Cette étude doit être réalisée par des experts qualifiés et souvent est soumise pour approbation aux autorités environnementales compétentes.
Produits et technologies qui pourraient être utilisés dans ces processus :
- Systèmes de Géographie Informationnelle (SIG) et logiciels de modélisation environnementale pour cartographier et analyser la sensibilité environnementale et les impacts potentiels.
- Stations de mesure de la qualité de l’air telles que le Kunak AIR Pro pour surveiller les émissions de poussières et autres polluants pendant les travaux.
- Analyseurs de bruit comme le Norsonic Nor145 pour évaluer les niveaux de bruit générés par la construction et la circulation routière.
- Équipement de prélèvement et d'analyse des sols, comme le Wintex 2000, pour évaluer la contamination potentielle des sols et la nécessité de remédiation.
- Sondes de qualité d’eau comme la Manta+ pour le suivi des impacts sur les ressources en eau.
- Logiciels de gestion de projet tels que le logiciel XR pour la gestion des données environnementales et le suivi des mesures de mitigation.
Ces outils et technologies aident les planificateurs, les ingénieurs et les gestionnaires environnementaux à prendre des décisions éclairées pour la protection de l'environnement et le bien-être social tout au long des projets de travaux routiers.
Comment analyser et protéger l'eau d'un étang suite à un rejet d'eaux usées?
1. Évaluation initiale :
- Inspection visuelle de l'étang pour détecter les signes de pollution tels que la présence de mousse, de coloration anormale ou de mortalité de poissons.
- Collecte d'informations sur la source du rejet d'eaux usées et estimation de la quantité et de la composition des contaminants.
2. Prélèvement et analyse des échantillons d'eau :
- Utilisation d'un préleveur automatique, comme le Préleveur réfrigéré monoflacon AS950 ou le Préleveur réfrigéré multi-flacons AS950, pour collecter des échantillons d'eau à différents endroits et profondeurs de l'étang.
- Analyse des échantillons pour des paramètres physico-chimiques et biologiques, y compris les nitrates, les phosphates, la demande biochimique en oxygène (DBO), la demande chimique en oxygène (DCO), les matières en suspension, les métaux lourds, etc. Des appareils comme le Smartchem 200 ou le Smartchem 600 peuvent être utilisés pour ces analyses en laboratoire.
- Mesure des paramètres in situ tels que le pH, l'oxygène dissous, la conductivité et la turbidité à l'aide de sondes multiparamètres portables comme le Manta+ ou l'Odeon Photopod.
3. Évaluation de l'impact écologique :
- Étude de l'impact sur la faune et la flore aquatiques, y compris les tests de toxicité sur les organismes aquatiques avec un appareil comme le TOXmini.
4. Traitement de la pollution :
- En fonction des contaminants identifiés, une stratégie de traitement peut inclure l'aération pour augmenter les niveaux d'oxygène, l'ajout de charbon actif pour absorber les polluants organiques, ou l'utilisation de floculants pour précipiter les métaux lourds.
- Pour les contaminants spécifiques comme les nitrates, des solutions comme la sonde NitraLed UV peuvent être utilisées pour la mesure en continu et le contrôle de la concentration en nitrates.
5. Mesures préventives et de suivi :
- Installation de systèmes de surveillance en continu comme le BACTcontrol pour surveiller l'activité microbiologique ou la sonde HAP pour la détection des hydrocarbures aromatiques polycycliques.
- Mise en place de barrières physiques ou de zones tampons pour prévenir de futurs rejets.
- Régulation des rejets industriels et sensibilisation des parties prenantes à la gestion durable des eaux usées.
6. Restauration écologique :
- Si nécessaire, mise en œuvre de techniques de restauration écologique, comme la réintroduction d'espèces indigènes ou l'aménagement de zones humides artificielles pour filtrer les eaux de ruissellement.
7. Réglementation et conformité :
- Assurer la conformité avec la législation locale et nationale en matière de rejets d'eaux usées et de qualité de l'eau.
- Réalisation d'audits réguliers et de rapports de conformité.
En utilisant les appareils et les techniques appropriés, il est possible de caractériser avec précision l'étendue de la pollution, d'appliquer des mesures correctives efficaces et de mettre en œuvre des stratégies de prévention pour protéger l'eau d'un étang contre les rejets d'eaux usées.
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