Produit
BIO-SULFURIX™
Laveur biologique du biogaz - GWE®
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Description
Le BIO-SULFURIX™ est un système de lavage biologique innovant et économique pour l'élimination du sulfure d'hydrogène dans le biogaz. Protégeant les chaudières et les moteurs contre la corrosion et les défaillances prématurées, cette solution durable ne nécessite ni produits chimiques ni remplacement coûteux du média. Grâce à sa construction en matériaux anti-corrosion, le BIO-SULFURIX™ offre une longue durée de vie et une performance optimale pour les entreprises soucieuses de l'environnement.
Type de produit
Ce produit a été créé et référencé pour le bon fonctionnement de la plateforme
Questions / Actualités
Questions
Nouvelle réponse
- Le 01/02/2024
Pour stabiliser une réaction chimique, mon client emploi de l'H2S. A la fin du process, il pousse hors du réacteur l'H2S avec de l'azote. Je recherche un systeme qui permettrait de séparer l'H2S et l'azote et ensuite qui reconditionnerait l'H
Réponse :
Pour séparer le sulfure d'hydrogène (H2S) de l'azote (N2) après une réaction chimique, il existe plusieurs méthodes de séparation gaz-gaz, chacune avec ses avantages et inconvénients. Voici deux approches techniques qui peuvent être utilisées pour un tel processus :
1. Absorption chimique ou physique : Cette méthode implique de faire passer le mélange de gaz à travers une solution absorbante qui réagit sélectivement avec l'H2S ou le dissout préférentiellement par rapport à l'azote. Dans le cas de l'absorption chimique, des solutions à base d'amines comme la monoéthanolamine (MEA) ou la diéthanolamine (DEA) peuvent être utilisées pour réagir avec l'H2S et le retirer du flux de gaz. L'absorption physique peut être réalisée avec des solvants comme le méthanol ou le diméthyléther de polyéthylène glycol (Selexol™) qui dissolvent sélectivement l'H2S. Après absorption, l'H2S peut être desorbé par augmentation de température ou réduction de pression et ensuite reconditionné.
2. Adsorption sur charbon actif ou zéolite : Cette méthode utilise des matériaux poreux comme les tamis moléculaires (zéolites) ou le charbon actif pour adsorber sélectivement l'H2S. Les zéolites peuvent être choisies pour leur sélectivité envers l'H2S sur la base de la taille de leur pore et de leur affinité chimique. Après adsorption, l'H2S peut être desorbé par un changement de pression (swing de pression) ou par purge thermique (augmentation de température) et récupéré.
Pour le reconditionnement de l'H2S, il faut prendre en compte les spécifications de pureté requises pour sa réutilisation. Le gaz reconditionné peut nécessiter une épuration supplémentaire pour éliminer toute trace de solvant ou d'autres impuretés. Des équipements comme des colonnes de distillation ou des unités de purification par membrane peuvent être ajoutés au processus de reconditionnement.
Des produits tels que l'APNA-370 de la liste fournie peuvent être utilisés pour surveiller en continu la concentration de NO, NO2 et NOx (et NH3 en option), mais ils ne sont pas spécifiquement conçus pour séparer l'H2S de l'azote. Il serait pertinent de chercher des absorbeurs de gaz, des adsorbeurs ou des systèmes de traitement du biogaz comme le BIO-SULFURIX™ pour l'élimination biologique de l'H2S, bien que ces derniers soient généralement utilisés dans le traitement du biogaz plutôt que dans des processus chimiques industriels spécifiques.
En résumé, le choix du système dépendra de la capacité nécessaire, des exigences de pureté, des considérations économiques (comme le coût des consommables et la maintenance) et de l'intégration avec le reste du processus de production. Il serait judicieux de consulter des fournisseurs spécialisés dans le traitement des gaz industriels pour obtenir une solution sur mesure qui répond aux besoins spécifiques de votre client.
1. Absorption chimique ou physique : Cette méthode implique de faire passer le mélange de gaz à travers une solution absorbante qui réagit sélectivement avec l'H2S ou le dissout préférentiellement par rapport à l'azote. Dans le cas de l'absorption chimique, des solutions à base d'amines comme la monoéthanolamine (MEA) ou la diéthanolamine (DEA) peuvent être utilisées pour réagir avec l'H2S et le retirer du flux de gaz. L'absorption physique peut être réalisée avec des solvants comme le méthanol ou le diméthyléther de polyéthylène glycol (Selexol™) qui dissolvent sélectivement l'H2S. Après absorption, l'H2S peut être desorbé par augmentation de température ou réduction de pression et ensuite reconditionné.
2. Adsorption sur charbon actif ou zéolite : Cette méthode utilise des matériaux poreux comme les tamis moléculaires (zéolites) ou le charbon actif pour adsorber sélectivement l'H2S. Les zéolites peuvent être choisies pour leur sélectivité envers l'H2S sur la base de la taille de leur pore et de leur affinité chimique. Après adsorption, l'H2S peut être desorbé par un changement de pression (swing de pression) ou par purge thermique (augmentation de température) et récupéré.
Pour le reconditionnement de l'H2S, il faut prendre en compte les spécifications de pureté requises pour sa réutilisation. Le gaz reconditionné peut nécessiter une épuration supplémentaire pour éliminer toute trace de solvant ou d'autres impuretés. Des équipements comme des colonnes de distillation ou des unités de purification par membrane peuvent être ajoutés au processus de reconditionnement.
Des produits tels que l'APNA-370 de la liste fournie peuvent être utilisés pour surveiller en continu la concentration de NO, NO2 et NOx (et NH3 en option), mais ils ne sont pas spécifiquement conçus pour séparer l'H2S de l'azote. Il serait pertinent de chercher des absorbeurs de gaz, des adsorbeurs ou des systèmes de traitement du biogaz comme le BIO-SULFURIX™ pour l'élimination biologique de l'H2S, bien que ces derniers soient généralement utilisés dans le traitement du biogaz plutôt que dans des processus chimiques industriels spécifiques.
En résumé, le choix du système dépendra de la capacité nécessaire, des exigences de pureté, des considérations économiques (comme le coût des consommables et la maintenance) et de l'intégration avec le reste du processus de production. Il serait judicieux de consulter des fournisseurs spécialisés dans le traitement des gaz industriels pour obtenir une solution sur mesure qui répond aux besoins spécifiques de votre client.
Nouvelle réponse
- Le 29/12/2023
Quel est le rôle du Centre technique national du biogaz et de la méthanisation (CTBM) dans le développement de la filière de méthanisation ?
Réponse :
Le Centre technique national du biogaz et de la méthanisation (CTBM) joue un rôle crucial dans le développement et la promotion de la filière de méthanisation en France. Le CTBM agit comme un catalyseur pour l'amélioration des pratiques et l'innovation technologique, soutenant ainsi le secteur du biogaz à travers plusieurs axes d'intervention:
1. Recherche et développement (R&D) : Le CTBM contribue à la recherche appliquée et au développement de nouvelles technologies ou de l'amélioration des technologies existantes. Il peut, par exemple, participer à des projets de recherche sur l'optimisation des processus de digestion anaérobie ou sur le développement de nouveaux équipements comme les analyseurs de biogaz (par exemple le modèle ETG 6500 ou MCA 100 Bio de la liste de produits), qui sont essentiels pour le contrôle et l'optimisation des installations de méthanisation.
2. Support technique et expertise : Offrant une assistance technique aux acteurs de la filière, le CTBM peut aider à la conception, à l'exploitation et à l'optimisation des installations de méthanisation. Il peut également apporter son expertise en matière de réglementation, de normes de sécurité et d'impact environnemental.
3. Formation et transfert de connaissances : Le CTBM joue un rôle éducatif important en formant les opérateurs, techniciens, ingénieurs et autres professionnels du secteur. Les formations peuvent couvrir divers aspects de la méthanisation, de la gestion des substrats à l'entretien des équipements tels que les pompes (par exemple la pompe péristaltique PCM Delasco™ DX ou la pompe à cavités progressives PCM EcoMoineau™ M).
4. Promotion de la filière et communication : Le CTBM travaille à la sensibilisation et à la promotion des avantages de la méthanisation en tant que source d'énergie renouvelable et de valorisation des déchets. Il peut organiser des événements, publier des études de cas ou des rapports qui mettent en avant les succès et les défis du secteur.
5. Accompagnement des projets : Le CTBM peut accompagner les porteurs de projets dans les différentes phases de leur développement, de l'étude de faisabilité à la mise en service. Il peut également les aider à trouver des financements ou à s'intégrer dans des réseaux professionnels.
6. Innovation et veille technologique : Le CTBM assure une veille sur les technologies émergentes et les meilleures pratiques internationales. Cela peut inclure l'évaluation de nouveaux systèmes de traitement et de purification du biogaz (comme les technologies SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ pour l'élimination des sulfures) ou des solutions de séchage du biogaz (comme le GASODRIX™).
7. Normalisation et qualité : Le CTBM peut participer à l'élaboration de normes techniques pour la filière et aider à assurer la qualité et la performance des installations et des produits dérivés de la méthanisation.
En résumé, le CTBM est un élément clé dans le développement de la méthanisation en France, en agissant comme un pont entre la recherche, l'industrie et les pouvoirs publics, et en fournissant l'expertise et les ressources nécessaires pour faire progresser cette source d'énergie durable et respectueuse de l'environnement.
1. Recherche et développement (R&D) : Le CTBM contribue à la recherche appliquée et au développement de nouvelles technologies ou de l'amélioration des technologies existantes. Il peut, par exemple, participer à des projets de recherche sur l'optimisation des processus de digestion anaérobie ou sur le développement de nouveaux équipements comme les analyseurs de biogaz (par exemple le modèle ETG 6500 ou MCA 100 Bio de la liste de produits), qui sont essentiels pour le contrôle et l'optimisation des installations de méthanisation.
2. Support technique et expertise : Offrant une assistance technique aux acteurs de la filière, le CTBM peut aider à la conception, à l'exploitation et à l'optimisation des installations de méthanisation. Il peut également apporter son expertise en matière de réglementation, de normes de sécurité et d'impact environnemental.
3. Formation et transfert de connaissances : Le CTBM joue un rôle éducatif important en formant les opérateurs, techniciens, ingénieurs et autres professionnels du secteur. Les formations peuvent couvrir divers aspects de la méthanisation, de la gestion des substrats à l'entretien des équipements tels que les pompes (par exemple la pompe péristaltique PCM Delasco™ DX ou la pompe à cavités progressives PCM EcoMoineau™ M).
4. Promotion de la filière et communication : Le CTBM travaille à la sensibilisation et à la promotion des avantages de la méthanisation en tant que source d'énergie renouvelable et de valorisation des déchets. Il peut organiser des événements, publier des études de cas ou des rapports qui mettent en avant les succès et les défis du secteur.
5. Accompagnement des projets : Le CTBM peut accompagner les porteurs de projets dans les différentes phases de leur développement, de l'étude de faisabilité à la mise en service. Il peut également les aider à trouver des financements ou à s'intégrer dans des réseaux professionnels.
6. Innovation et veille technologique : Le CTBM assure une veille sur les technologies émergentes et les meilleures pratiques internationales. Cela peut inclure l'évaluation de nouveaux systèmes de traitement et de purification du biogaz (comme les technologies SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ pour l'élimination des sulfures) ou des solutions de séchage du biogaz (comme le GASODRIX™).
7. Normalisation et qualité : Le CTBM peut participer à l'élaboration de normes techniques pour la filière et aider à assurer la qualité et la performance des installations et des produits dérivés de la méthanisation.
En résumé, le CTBM est un élément clé dans le développement de la méthanisation en France, en agissant comme un pont entre la recherche, l'industrie et les pouvoirs publics, et en fournissant l'expertise et les ressources nécessaires pour faire progresser cette source d'énergie durable et respectueuse de l'environnement.
Nouvelle réponse
- Le 27/12/2023
Quels sont les différents types de formation disponibles pour se spécialiser dans les activités liées à la méthanisation ?
Réponse :
La méthanisation est un processus biologique qui convertit la matière organique en biogaz, principalement composé de méthane (CH4) et de dioxyde de carbone (CO2), grâce à l'action de micro-organismes en l'absence d'oxygène (anaérobie). Ce processus est utilisé dans le traitement et la valorisation des déchets organiques, ainsi que pour la production d'énergie renouvelable. Pour se spécialiser dans les activités liées à la méthanisation, divers types de formation sont disponibles :
1. Formations Universitaires et Grandes Écoles :
- Des programmes de master en ingénierie de l'environnement, énergies renouvelables, ou génie des procédés avec une spécialisation en méthanisation ou biogaz.
- Des doctorats pour ceux qui souhaitent se spécialiser dans la recherche et le développement autour de la méthanisation.
2. Formations Professionnelles et Techniques :
- Des formations professionnelles spécialisées proposées par des organismes de formation continue, des écoles d'ingénieurs ou des centres techniques spécialisés dans l'énergie et l'environnement.
- Des certifications professionnelles ou des modules de formation spécifiques à la méthanisation, qui peuvent couvrir des aspects techniques, réglementaires, économiques ou de gestion de projet.
3. Formations en Ligne (e-learning) :
- Des cours en ligne ouverts à tous (MOOC) sur les énergies renouvelables, la gestion des déchets et la méthanisation, permettant d’acquérir des connaissances de base à avancées.
4. Stages et Formations Pratiques :
- Des stages en entreprises ou dans des installations de méthanisation pour acquérir une expérience pratique.
- Des formations pratiques sur site, qui peuvent inclure l'utilisation d'équipements spécifiques comme les analyseurs de biogaz (par exemple l'ETG 6500 ou le MCA 100 Bio de chez ETG), les pompes à cavité progressive (comme les modèles PCM EcoMoineau™) ou les systèmes de désulfuration du biogaz (tels que SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ de GWE).
5. Séminaires, Ateliers et Conférences :
- Participation à des séminaires et ateliers techniques organisés par des associations professionnelles ou des clusters dans le domaine de la méthanisation.
- Conférences internationales sur les énergies renouvelables où la méthanisation est souvent un sujet clé.
6. Formations Spécialisées pour les Opérateurs et Techniciens :
- Formations dédiées au fonctionnement, à la maintenance et à la surveillance des installations de méthanisation, souvent proposées par les fabricants d'équipements ou les organismes spécialisés.
7. Modules de Formation Sur Mesure :
- Des modules conçus spécifiquement pour répondre aux besoins d'une entreprise ou d'un projet de méthanisation, souvent réalisés en partenariat avec des consultants ou des experts du domaine.
Pour choisir la formation adéquate, il est important de définir ses objectifs professionnels, qu’il s’agisse de conception et ingénierie de process, de gestion de projet, d’exploitation et maintenance d'installations de méthanisation, ou encore de recherche et développement. Il est également pertinent de vérifier que les formations proposées sont reconnues par les professionnels du secteur et qu'elles offrent des compétences actualisées en accord avec les dernières évolutions technologiques et réglementaires du domaine de la méthanisation.
1. Formations Universitaires et Grandes Écoles :
- Des programmes de master en ingénierie de l'environnement, énergies renouvelables, ou génie des procédés avec une spécialisation en méthanisation ou biogaz.
- Des doctorats pour ceux qui souhaitent se spécialiser dans la recherche et le développement autour de la méthanisation.
2. Formations Professionnelles et Techniques :
- Des formations professionnelles spécialisées proposées par des organismes de formation continue, des écoles d'ingénieurs ou des centres techniques spécialisés dans l'énergie et l'environnement.
- Des certifications professionnelles ou des modules de formation spécifiques à la méthanisation, qui peuvent couvrir des aspects techniques, réglementaires, économiques ou de gestion de projet.
3. Formations en Ligne (e-learning) :
- Des cours en ligne ouverts à tous (MOOC) sur les énergies renouvelables, la gestion des déchets et la méthanisation, permettant d’acquérir des connaissances de base à avancées.
4. Stages et Formations Pratiques :
- Des stages en entreprises ou dans des installations de méthanisation pour acquérir une expérience pratique.
- Des formations pratiques sur site, qui peuvent inclure l'utilisation d'équipements spécifiques comme les analyseurs de biogaz (par exemple l'ETG 6500 ou le MCA 100 Bio de chez ETG), les pompes à cavité progressive (comme les modèles PCM EcoMoineau™) ou les systèmes de désulfuration du biogaz (tels que SULFURIX™ ou BIO-SULFURIX™ de GWE).
5. Séminaires, Ateliers et Conférences :
- Participation à des séminaires et ateliers techniques organisés par des associations professionnelles ou des clusters dans le domaine de la méthanisation.
- Conférences internationales sur les énergies renouvelables où la méthanisation est souvent un sujet clé.
6. Formations Spécialisées pour les Opérateurs et Techniciens :
- Formations dédiées au fonctionnement, à la maintenance et à la surveillance des installations de méthanisation, souvent proposées par les fabricants d'équipements ou les organismes spécialisés.
7. Modules de Formation Sur Mesure :
- Des modules conçus spécifiquement pour répondre aux besoins d'une entreprise ou d'un projet de méthanisation, souvent réalisés en partenariat avec des consultants ou des experts du domaine.
Pour choisir la formation adéquate, il est important de définir ses objectifs professionnels, qu’il s’agisse de conception et ingénierie de process, de gestion de projet, d’exploitation et maintenance d'installations de méthanisation, ou encore de recherche et développement. Il est également pertinent de vérifier que les formations proposées sont reconnues par les professionnels du secteur et qu'elles offrent des compétences actualisées en accord avec les dernières évolutions technologiques et réglementaires du domaine de la méthanisation.
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